1. The Pussy's


    Datte: 23/06/2021, Catégories: fh, douche, Oral pénétratio, policier,

    ... voulait en venir. — Pas de verbiage, mec. Si tu nous connais, tu sais ce dont on est capable. Je te conseille de nous filer notre blé rapidos…— Je sais pas où il se trouve, poursuivit-il. La seule personne qui peut vous renseigner se trouve à Peach Springs, sur la route de Vegas. Billy grogna une nouvelle fois. — Jason est parti en ville nous réapprovisionner. Mais vous pouvez l’attendre ici, si vous le souhaitez… Vous verrez, c’est un lieu où on peut prendre du bon temps. Bordel de merde. — Approchez. Entrez vous rafraîchir un peu.— Et la fille ? demandai-je en jetant un œil dans l’habitacle. Elle doit avoir besoin de soins vu ce que lui ont fait subir tes putains de fils. Parce que ton couplet sur la tyrannie, ça prend pas. Ils avaient les mêmes gueules de cadavres que vous. Le vieux ne se démonta pas. — Nous formons une famille, il est vrai. Mais leur dégénérescence m’a échappé. Il faut les comprendre, ils sont nés ici, au milieu de nulle part, dans ce lieu de mort, la folie pour compagne. Aussi je ne vous en veux pas d’avoir mis un terme à leur souffrance. Je supportais de moins en moins leurs caprices… Allons, approchez maintenant. Je m’avançai prudemment en essayant de masquer la peur qui m’envahit au moment où je passai à côté du bourreau, même si je savais que Polly couvrait mes arrières. — Qui est cette fille, bon sang ?— Elle a été enlevée, tout comme vous, répondit-il en disparaissant dans la demeure en claudiquant. Mes fils avaient eu l’idée de monter ce bordel, ...
    ... histoire d’avoir de quoi survivre… En plein dans le mille. Les putes, des filles innocentes. Les macs, des dégénérés. Les clients, des salauds de la ville, la vraie. En compagnie de Polly, je passai le perron à la suite du vieillard et le rejoignis à l’intérieur, une petite pièce dotée d’un distributeur de boissons, d’un accueil et d’un escalier qui grimpait à l’étage. Une soubrette d’une vingtaine d’années, le regard charbonneux et las, chargé de khôl, se tenait debout, appuyée sur la rampe. Blonde, minijupe ras la touffe, bas fumés avec jarretières apparentes, escarpins, petit tablier et coiffe, la panoplie idéale pour faire fantasmer le client. L’homme tâtonna jusqu’au distributeur, fit coulisser la porte en verre, et saisit deux canettes de bière qu’il finit par nous tendre. Fraîches. Je dégoupillai la mienne et la portai à mes lèvres, de concert avec Polly. — Une cigarette ? dit-il en exhibant son paquet de Pall Mall. Nous en prîmes une et ne tardâmes pas à tirer une bouffée salvatrice. Bière et nicotine, un carburant qui nous manquait depuis trop longtemps. — Mais putain, on est où ici ? demandai-je. Le vieux esquissa un sourire. Je m’efforçai d’éviter les larmes de sang qui dévalaient la pente de ses joues. Tout était tellement bizarre, ici. Et puis il y avait cette curieuse odeur d’éther qui se dégageait du type. — Camp Valley fut autrefois investi par l’armée. Ils y firent quelques expériences de masse sans prendre le temps d’évacuer la totalité de la population. Plus ...
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