Les vacances d'Aurélie - Histoires de Sexe

Les vacances d'Aurélie

... Me caresser a bien aidé. Avec le gode double, ça fait bizarre de se sentir ainsi prise, mais j’ai bien aimé.— Ça s’est vu. Et l’autre ?— Ça ne m’avait pas effleuré l’esprit qu’il s’en serve pour me le mettre dans le cul.— Mais tu as accepté sans te faire prier hors une ou deux claques sur les fesses, qui ne t’ont pas fait réagir non plus d’ailleurs. Tu as bien docilement présenté ton cul.— C’est comme un défi et je l’ai relevé.— Un gros défi alors. Au fait, tu pourrais me le faire voir en vrai ? Sans hésiter Aurélie va chercher l’objet : — Le voilà— Waouh ! Quand tu le tiens ça fait encore plus gros que sur le film. Et il a pu te l’enfiler… Eh bé ! Et tu l’as gardé toute la nuit, j’ai entendu.— Non, une partie seulement. Au bout de deux heures j’ai été lui demander si je pouvais le retirer. Je n’arrivais pas à dormir avec et il l’a fait lui-même.— Tu as été lui demander ! Il te fallait son autorisation.— Non pas vraiment, mais…— Mais tu as préféré te conduire comme une bonne fille qui ne voulait pas désobéir. Et s’il t’avait dit de le garder qu’aurais-tu fait ?— Je l’aurais… euh… je l’aurais retiré je pense.— Tu penses ! Tu n’en es même pas sûre. Eh bien, moi je pense que tu l’aurais gardé, car avec lui je crois que ça fait partie du plaisir de te faire un peu contraindre et même dominer.— Oh non !— Oh si ! Allez, soit franche avec toi-même.— Oui peut-être un peu.— Un peu si tu veux. Je suis sûre que tu attends ce soir avec impatience pour te faire sauter. Hier avec le beauf ...

... ça a dû être la grosse frustration.— C’est vrai que c’était la tuile.— Alors, tu seras prête à tout pour y arriver ?— N’exagère quand même pas.— Mettons. Tiens tu sais ce que tu devrais faire ?— Non.— Vu comme tu es disposée, tu devrais te faire fesser. Ça devrait te plaire.— Tu n’y penses pas !— Réfléchis-y. La conversation est interrompue par l’arrivée de Bernard qui rentre de sa réunion plus tôt que prévu. Aurélie a à peine le temps de faire disparaître le plug. Heureusement que l’ordi n’était pas resté ouvert. Ça aurait pu éveiller des doutes chez son hôte. Elle ne sait s’il apprécierait qu’elle montre leurs exploits intimes à des tiers, même si c’est sa meilleure amie. Cela lui fait penser que les regarder avec lui serait une bonne mise en condition à la soirée. Malgré cela Bernard, en voyant d’une part l’air exagérément détaché de sa jeune maîtresse, et d’autre part le regard en coin et malgré tout un peu trop appuyé et brillant d’une lueur qu’il juge par trop espiègle de son amie, est pris de sérieux doutes quant au silence d’Aurélie sur leurs rapports. Il s’abstient malgré tout de tout commentaire, il réserve une éventuelle explication pour plus tard, quand cette Martine que lui présente Aurélie sera partie. Sa conviction se renforce quant à des confidences de celle-ci. En effet, durant la conversation certaines remarques de Martine ont un caractère ambigu ou allusif qui lui laisse de moins en moins de doute. Celle-ci part après l’apéro, elle a refusé l’invitation à ...