Les vacances d'Aurélie
Datte: 23/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
extracon,
douche,
fsoumise,
hdomine,
vidéox,
Oral
69,
fgode,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
... durer. Et il y réussit fort bien. Il fait monter la pression, la relâche un peu sans la laisser retomber, puis la fait repartir, ainsi à maintes reprises. Ce petit jeu rend Aurélie de plus en plus frénétique. Elle frissonne, son bassin s’anime, elle geint, elle râle, elle perd la notion du temps. Soudain c’est l’explosion, son corps frémit et s’arc-boute, un long feulement rauque s’échappe de ses lèvres. Elle retombe sur le lit, l’esprit embrumé. Elle reste ainsi inerte en sueur et haletante. Bernard en profite pour boire un peu d’eau avant de s’assoir sur le lit et la regarder cuver son plaisir. Quand elle émerge, elle lui sourit et l’embrasse. Elle lui fait ensuite une petite gâterie, mais s’interrompt rapidement, le laissant assez frustré, pour fouiller dans son sac. Elle sort fièrement une petite boîte. — En faisant les courses, j’ai acheté des préservatifs. Elle en prend un et entreprend de le mettre… avec la bouche. Elle y réussit fort bien… sans s’aider des mains. Elle est douée pour les gorges profondes, pense Bernard. Fort satisfaite elle explique : — J’ai vu ça sur Internet. Je ne pensais pas y arriver aussi bien.— Tu as une belle capacité d’absorption. Elle rosit presque de contentement en entendant cela. Elle croit bon d’ajouter : — J’avais jamais fait ça avant. Pourtant Mathieu, c’était mon copain, il aurait certainement aimé. Il voulait tout le temps que je le suce, mais il insistait trop, du coup ça finissait par me dégoûter, surtout que lui c’est comme s’il ...
... n’avait pas de langue. Tout ce qui l’intéressait c’était sa bite et rien d’autre. Elle se retient d’ajouter :et pourtant la sienne est même un peu moins grosse et longue que la vôtre. Elle le pousse. Une fois qu’il est allongé, elle l’enjambe, s’empare de sa queue, l’ajuste et la fait entrer en elle sans se presser, goûtant chaque moment de l’insertion. Elle fait une longue pause en le gardant au fond de son con, puis lentement elle monte et descend. Après l’avoir laissée œuvrer, Bernard ne veut pas rester entièrement passif. Il lui prend les seins pour les cajoler, les caresser, les pétrir un peu. Il a hésité, Bernadette est très sensible de la poitrine, déjà ce qu’il fait à celle d’Aurélie, elle ne l’aurait pas supporté. Voyant qu’elle apprécie, il pince légèrement les pointes. Sans rien changer à son rythme elle souffle : — Oui continuez… Plus fort… Ses doigts se resserrent davantage sur les tendres appâts. Ils étirent davantage les tétons. — Oh ! Oui… Continuez… N’arrêtez pas… Il insiste, il les malaxe, les pince et même les tord, sans déclencher d’autres réactions qu’une accélération du rythme et des « Oui » à répétition. Sur un dernier qui semble ne jamais finir, pour la seconde fois, elle prend son plaisir. Il était temps. Bernard était à bout. Il ne pensait pas pouvoir encore résister aussi longtemps. Aurélie se laisse aller sur le côté, reste un moment à reprendre son souffle, avant de le prendre par le cou pour l’embrasser. Quand elle abandonne ses lèvres, c’est pour ...