1. Je m'exhibe avec plaisir


    Datte: 24/06/2021, Catégories: fh, couple, inconnu, fépilée, vacances, plage, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio,

    ... reins, à la hussarde. Je laisse échapper un glapissement, tellement l’impression est forte. Son sexe dur et long pénètre ma chatte. Ça faisait si longtemps ! La queue de mon chéri va-et-vient dans mon sexe, je suis tellement mouillée qu’elle glisse toute seule, s’enfonçant de toute sa longueur avant de ressortir presque entièrement. À peine quatre à cinq coups de reins, et je commence à décoller. Bernard me pénètre avec délectation, il doit regarder son sexe entrer et sortir de moi en écartant mes lèvres intimes. J’éprouve des sensations divines : les parois de mon vagin serrent sa tige comme un moule. Il adore cette position, car il peut m’embrocher à fond et maîtriser son rythme pour m’amener au septième ciel. Bernard m’enfile de toute la longueur de sa bite, il sort posément, presque complètement, pour se réintroduire à fond avec vigueur, cependant il opère délicatement, sans brutalité. Les yeux fermés, toute à mes sensations érotiques, je m’entends gémir. Chaque coup de reins supplémentaire m’extorque un cri de jouissance. Je me fais défoncer, et j’aime. Au fond de moi, je pense :Prends-moi comme ça, ardemment. Tu n’as pas besoin de faire attention, je suis toute à toi. Manifeste ton envie de moi, montre-moi que je t’ai manqué, que tu as une envie dingue de mon corps. Pourvu que tu ne t’arrêtes pas… Une montée de plaisir qui vient du fond de mon bas-ventre grandit à chaque coup de reins de Bernard. Je gémis, je l’implore : — Chéri, n’arrête pas, continue comme ça, ...
    ... retiens-toi. J’aime trop, j’ai trop envie ! Je pousse mes reins en arrière, à la rencontre de son chibre pour qu’il entre au plus profond, je le veux en entier. Je viens à la rencontre des coups de boutoir de mon homme, mes fesses cognent contre son ventre à chaque fois que sa queue m’épingle. Je deviens folle. La sensation est ineffable. Je redouble de frénésie. Je ferme les yeux pour mieux ressentir la vague de jouissance, qui continue à grandir. Je ne suis plus qu’un sexe, un vagin pourfendu par une tige de chair et qui va exploser de plaisir. J’en pleurerais de bonheur. Un dernier coup de reins, j’ai le sentiment qu’il est encore plus gros, plus ferme, plus raide. La jouissance déferle : j’ai l’impression de hurler et de basculer dans le néant, soudée au chibre de mon chéri. Un moment de répit et je perçois que Bernard est toujours dur dans mon corps avide de sensation jouissives. Un doigt fouineur descend entre mes fesses. Il joue avec mon anneau étroit, le titille, l’asticote. Son chibre sort de moi, aussitôt, un doigt, puis deux doigts font leur entrée dans ma grotte d’amour et remontent sans attendre sur ma rosette qu’ils humidifient de mes sécrétions intimes. Le manège se reproduit plusieurs fois. Ensuite, un doigt s’introduit dans mon petit trou, le détend à l’aide de caresses douces. Je tortille des fesses, son doigt entre, sort, affole ma rondelle. Dans le même temps, il colle sa langue à mon clito, caresse à laquelle je ne résiste jamais. Je suis à peine revenue de ma ...