1. Photos de famille (4)


    Datte: 24/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Il était presque 17 heures lorsqu’Anton franchit le seuil du magasin. Ophélie était occupée avec un client souhaitant offrir un appareil à sa petite-fille qui venait de se découvrir une passion pour la photographie. Elle s’excusa auprès de lui, le temps de venir saluer son ami. Elle embrassa Anton, de cette manière si particulière qui lui faisait toujours penser qu’elle aurait espéré un peu plus qu’effleurer de ses lèvres ses joues mal rasées. ─ Je finis avec ce monsieur et je te propose d’aller boire un verre au bar un peu plus bas. Mon apprentie prendra la relève le temps que nous célébrions cette visite. Tu te fais de plus en plus rare… Anton acquiesça et laissa ses yeux parcourir les étagères, puis son regard revint sur Ophélie, qu’il observa discrètement. Elle était tout de noir vêtue, comme à son habitude depuis la toute première fois qu’il l’avait rencontrée. Elle lui tournait le dos, lui offrant involontairement un point de vue idéal sur son petit cul, moulé dans un jean. Il ferma les yeux, se demandant ce qui clochait chez lui. Depuis son retour, il ne semblait penser qu’au sexe. Était-ce vraiment lui qui y pensait ? Il avait un peu l’impression que le sujet s’imposait à lui, que ce soit sa sœur qui l’allumait ou, à l’instant, Ophélie qui se présentait idéalement. Il se concentra sur les sacoches, la sienne ayant été mise à rude épreuve lors de ces derniers mois. Puis ses pensées revinrent sur la façon qu’avait Ophélie de l’embrasser. Il s’était toujours refusé à ...
    ... aller trop loin, la considérant un peu comme sa petite sœur. Sauf que l’argument ne tenait plus : il venait de déflorer Sabrina et ce, quelques heures plus tôt. À cette seule pensée, ce fut comme si sa queue lui disait « Oh oui, s’il te plaît, laisse-moi faire encore un tour de manège ! » Il fallait se rendre à l’évidence : sa sœur était une vraie bombe, et elle risquait de lui péter à la gueule. Il devinait aisément la soif sexuelle de Sabrina. Ce n’était pas de la nymphomanie, juste une envie de découverte. Il ne pouvait l’en blâmer, ayant été lui aussi assailli par cette même soif, et il n’était pas encore pleinement rassasié. S’il avait été plus proche de sa sœur aînée, il lui aurait certainement demandé comment elle avait vécu cette période ; mais voilà, malgré une seule année de différence au compteur, leurs contacts étaient sporadiques. Ce n’était pas une réelle mésentente, juste que Gwenaëlle avait quitté le foyer familial très tôt. ─ Alors, Monsieur le photographe, on fantasme devant mon matériel ? À moins que ce soit moi qui te fasse rêver… plaisanta Ophélie. ─ Oh ! Je ne t’avais pas entendue arriver, répondit Anton qui semblait tout juste émerger d’un long sommeil. Après les amabilités d’usage, ils quittèrent le magasin pour discuter tranquillement dans le cadre feutré du « Cap Horn », tenu par un ancien marin échoué loin des côtes et amoureux d’une Brésilienne à la peau sombre qu’il avait tirée des griffes d’un proxénète cacochyme. Ils entrèrent dans l’établissement ...
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