Photos de famille (4)
Datte: 24/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... comme toi tu le fais, même parmi mes compatriotes. Alors pourquoi priverais-je une amie – ou même une inconnue – du plaisir que vous pourriez, que nous pourrions partager ? Tout en lui expliquant son point de vue, elle avait joué de ses muscles autour de sa queue et, arrivée à la fin de sa phrase, elle lui avait déclenché une de ses plus belles éjaculations. Elle s’était ensuite allongée sur le dos, serrant les fesses pour garder sa semence en elle. Il était venu entre ses jambes pour une fellation qu’il lui prodigua avec application tandis que Kanyaphat continuait ses commentaires. ─ Je comprends aussi que tu aies parfois envie de lécher une petite chatte. Tout ce que je te demande en contrepartie, c’est que tu ne me mentes jamais : je préfère savoir que tu assouvis un désir que sentir que tu me caches quelque chose. bczbmmxg C’était ainsi qu’elle l’avait achevé, psychologiquement. Cette sage et frêle jeune femme l’avait rendu amoureux, intensément amoureux. De cette liberté consentie, il avait pensé n’avoir jamais besoin. Jusqu’à maintenant, dans ce bar où Ophélie ne tarderait pas à lui proposer une partie de jambes en l’air ; pas aussi ouvertement : elle aurait plus de classe. Pour l’instant elle se contentait de sourire de toutes ces dents. Cependant, son sourire n’était en rien carnassier. Après tout, elle ne pouvait avoir que le triomphe modeste : s’il capitulait enfin, il n’en restait pas moins amoureux ; et hélas, ce n’était pas d’elle. Mais son visage resta lumineux ...
... : Anton lui dévoilait une facette qu’elle ne lui connaissait pas, et elle appréciait d’être surprise. Ophélie s’était blottie contre lui ; il n’avait pas rechigné. Ils restèrent ainsi quelques minutes, aucun des deux n’osant briser ce moment un peu hors du temps. Elle savait qu’elle tenait là sa chance mais hésitait cependant à profiter de la vulnérabilité passagère d’Anton. Mais il était si proche… Elle devinait toutefois qu’elle n’aurait certainement plus jamais une telle occasion. Elle glissa lentement une main entre les cuisses de son ami, comme pour lui laisser la possibilité de refuser ce contact. Il n’intervint pas, et elle constata que le membre avait déjà cédé à la tentation. Elle lui adressa un petit sourire, et d’un léger mouvement de tête elle l’invita à la suivre dans les toilettes. Elle le prit par la main comme pour lui indiquer le chemin, à moins que ce soit pour s’assurer qu’il ne s’enfuirait pas. Elle marchait à reculons et, le regardant droit dans les yeux, elle se mordit la lèvre inférieure. ─ Depuis le temps que j’attends ça ! Tu vas voir, tu ne regretteras pas… je te le promets, lui murmura-t-elle. Ils entrèrent dans les toilettes, excités comme des ados. Heureusement pour eux, l’endroit offrait assez d’espace pour rendre leur rapport le plus confortable possible. À peine la porte fermée, Ophélie dégrafa le pantalon de son ami puis se mit à genoux. Le membre ayant déjà pris beaucoup d’ampleur, il ne fallut pas longtemps pour qu’il soit bandé au maximum. ...