La gérante de la galerie d'art (2)
Datte: 24/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... atteint le haut en dentelle de mon bas. Je tremble soudain un peu mais j’espère qu’il va arrêter. Mais non, il remonte plus haut et passe un doigt le long de la bordure du bas contre la peau. Je laisse échapper un gémissement. Les yeux mi-clos et la bouche tremblante je lui dis à voix basse : "Je vous en prie… Il y a du monde ! Et je suis pudique…" A cet instant j’aimerais qu’il me prenne dans ses bras si rassurants, mais l’endroit ne s’y prête pas. Il me réconforte, cela me fait du bien, tellement, que son attouchement ne me choque même pas. ° ° ° Elle me touche, sa détresse qui ne semble pas feinte m’émeut profondément. Elle doit être bouleversée au point qu’elle a laissé ma main caresser son genou, et qui, enhardie par sa passivité est remontée comme distraitement sur sa cuisse pleine, crissant sur le nylon, jusqu’à ce qu’elle tombe sur une jarretière plus épaisse, et au toucher, festonnée. Quand le bout de mes doigts a trouvé la peau nue et satinée de la cuisse charnue, loin de lui déplaire et de la choquer, elle a gémi et a seulement exprimé la crainte qu’on nous voit ! Je ne peux décemment pas profiter de la faiblesse de cette belle femme pour l’emmener dans mon bureau et la culbuter sur la table ronde comme un vulgaire D.S.X. : je suis un gentleman tout de même ! Et je tiens à mon image. Même si mon charme viril et sûr semble agir sur elle, elle n’est pas une petite gourdasse ou une midinette qu’on emmène chez soi une fois qu’on la sent mûre. Dès qu’on se sera tous ...
... les deux levés de là elle aura retrouvé ses esprits, et une fois la tête froide, trouvera le premier prétexte pour ne pas monter chez moi. Et puis, que pourrais-je lui proposer pour l’aider ? Lui faire un chèque comme à une vulgairepute de luxe ?! Elle a de la classe, elle vient d’un milieu bourgeois, ça n’est plus une vulgaire cocotte qui se fera entretenir pour des faveurs sexuelles… ça me décevrait d’ailleurs, elle vaut mieux que ça ! Il faudrait quelque chose qui lui permette de garder la tête haute, de lui préserver un semblant de fierté… hum. Pour garder contenance - alors que je bande dur et que ça se verra en pleine lumière dès que je me lèverai, dans ce pantalon moulant dont le cuir est si fin - je lui demande sérieusement, les yeux dans les siens : " - Et pourquoi vous ne demanderiez pas un prêt aux banques pour financer ces travaux ? — Je l’ai déjà fait, mais je suis déjà trop endettée, en partie pour ma galerie qui est encore loin d’être payée, et aussi pour enfants : j’ai déjà contracté plusieurs emprunts… Je suis prise à la gorge" ajoute-t-elle dans un sanglot étouffé. " - Oui, je comprends" dis-je avec un air grave. Je réfléchis très vite et après quelques secondes de silence me vient un éclair de génie… ou bien est-ce un très vieux fantasme qui trouve là l’occasion de faire surface : " - Écoutez," lui dis-je, "je pourrais toujours vous prêter de l’argent, même si je ne suis pas une banque et que c’est illégal, mais même si je vous aime beaucoup, que vous êtes ...