1. La gérante de la galerie d'art (2)


    Datte: 24/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    C’est fou ce que cette fille est excitante, elle perspire le sexe par tous ses pores, sous ses airs de bourgeoise coincée. D’ailleurs dès qu’elle s’est assise je n’ai pu m’empêcher de reluquer ses cuisses au-dessous de sa jupe qui s’est légèrement remontée, et hum… j’ai pu voir la dentelle plus sombre et festonnée d’une jarretelle : ah, la salope, elle m’allume, sans en avoir l’air ! Et le bruit du cuir de ses bottes frottées l’une contre l’autre et contre le cuir de son siège me fait un effet bœuf : je me mets àbander et me sens soudain serré dans mon pantalon ajusté. Il fait un peu sombre dans la voiture, mais si ça se trouve elle va voir que j’ai la gaule quand nous allons descendre tout à l’heure. Il flotte une odeur enivrante dans ma Jaguar, entre le vieux bois, le cuir, et son eau de toilette chic et entêtante. Nous voilà arrivés. Elle s’est montée étonnamment peu diserte durant ce court trajet comme si elle avait été impressionnée. Je descends et m’empresse de lui ouvrir la portière. J’ai l’impression qu’elle n’a pas eu trop l’habitude de ces manières. Je la laisse passer devant (encore l’occasion de mater discrètement ses jolies formes, ce derrière et ces courbes bien moulés dans cette robe à motif, sa taille bien marquée, ses hanches dans lesquelles je mordrais bien, je l’avoue. Le pub est peu rempli, et j’ai pris soin de nous réserver une table discrète, un peu à l’écart (je suis très connu ici, et je ne suis pas avare avec le personnel.) L’endroit est chaleureux, ...
    ... plein de boiseries, avec des couleurs chaudes, des lumières douces. Nous avons notre petite table dans le fond, dans un petit recoin. Je la fais asseoir sur la banquette, et m’assois sur un fauteuil à sa gauche. Je lui souris, lui redis ma satisfaction d’avoir acquis cette œuvre qui me plait vraiment beaucoup. Et sa galerie est vraiment superbe, je la félicite. Je m’enquiers de comment vont ses affaires. Elle sourit un peu tristement, m’affirme que ça marche très bien… mieux qu’elle espérait, mais l’expression de son visage ne va pas avec ce qu’elle affirme. Il y a quelque chose d’autre, j’en suis sûr. Je pose ma main sur la sienne (qu’elle ne retire pas) et lui dis que je la trouve soucieuse et qu’elle m’inquiète un peu. Je lui demande si elle a des problèmes. Elle reste un peu figée, avec un rictus ; pendant quelques secondes elle semble hésiter. Je sens qu’elle a quelque chose sur le cœur. Ça me touche sincèrement, je n’aime pas qu’une aussi jolie femme soit ainsi tourmentée. Je lui dis qu’elle peut m’ouvrir son cœur. Du coup, elle cesse de balbutier, soupire un grand coup, ses jolies épaules retombent, relâchées : je sais qu’elle va s’épancher, une vanne vient de céder. ° ° ° Je commence à expliquer ma situation en restant calme et sérieuse. Mon désespoir financier qui fait que je suis prête à tout pour redresser ma situation. Il est des plus charmants et absorbe tout ce que je dis en m’écoutant. Il remarque cependant que je passe une de mes bottes contre sa jambe. Je me ...
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