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Dans le noir
Datte: 24/06/2021, Catégories: fhh, inconnu, handicap, sauna, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, massage, Oral préservati, Partouze / Groupe
... état d’excitation indescriptible. Ses seins avaient doublé de volume et semblaient durs comme de la pierre, ses aréoles s’étaient resserrées et étaient passées au marron foncé, ses tétons pointaient comme un appel au viol et son corps tout entier avait le chair de poule. Je n’avais jamais vu ma chérie dans un tel état ! Étienne continuait le massage de ses seins avec de plus en plus de mouvements, son sexe faisant des allers-retours tantôt contre le front, tantôt contre la joue de Béa. Alors qu’il se penchait pour masser son ventre, le sexe d’Étienne passa sur le visage de Béa qui ouvrit la bouche et l’engloutit ! Ouaaaaah ! Un frisson me traversa tout le corps, comme une décharge électrique et je perdis mon érection. Cette vision de ma femme avec une énorme queue dans la bouche qu’elle suçait avec vigueur, quel choc ! C’était une première pour nous ; j’étais partagé entre la jalousie et le plaisir de ce beau spectacle… Bien entendu, je savais que ma femme avait sucé pas mal d’autres bites avant de me connaître, et cela m’excitait, d’ailleurs. Bien entendu, nous en avions déjà parlé et nous nous étions donné l’autorisation de le faire ensemble à condition d’être là tous les deux et de se contenter d’échanges buccaux ; mais là, ce n’était plus des paroles mais des actes ! Je restai quelques minutes à les contempler. Étienne continuait à balader ses mains sur tout le corps de Béa et elle continuait d’encercler son concombre avec ses lèvres. Mon érection était revenue plus ...
... forte qu’avant et j’étais moi aussi dans un état d’excitation comme rarement j’avais été. Mon corps tout entier tremblait comme celui de Béa. Sans nous toucher, nous étions finalement à l’unisson, bien plus que parfois lorsqu’on faisait l’amour en fait. Étienne avait à présent beaucoup moins de scrupules à toucher le sexe de Béa ; ses doigts entraient et sortaient régulièrement. Béa voulut m’offrir un dernier spectacle avant de jouir. Elle se mit à quatre pattes en écartant bien grand les cuisses pour me permettre de contempler son trou béant et sa rondelle tout aussi dilatée. Étienne continuait ses allers-retours avec sa bite dans la bouche de ma femme comme s’il était chez lui et introduisait ses doigts luisants tour à tour dans les deux trous qui s’offraient à lui avec impudeur. La chatte de Béa était si dilatée que l’on aurait pu y mettre nos deux bites ; son clitoris était gorgé de sang et suppliait qu’on s’occupe de lui ! Je continuais à me caresser. Béa ne poussait plus de petits cris à présent mais était bel et bien en train de jouir. Elle se retourna à nouveau pour se remettre sur le dos et reprit la pipe divine. Je n’en pouvais plus ; je me levai et finis de me branler près de Béa pour lui éjaculer sur le ventre. Elle avait pris les choses en main de son côté : d’une main elle s’astiquait le bouton, de l’autre elle branlait Étienne pour qu’il crache à son tour son jus, ce qui arriva assez rapidement : il déchargea quatre grandes saccades sur les seins de Béa qui finit ...