L'ivresse des sens - Histoires de Sexe

L'ivresse des sens

... visage de son amie rousse. Elle se rapprocha d’elle en écartant les cuisses. Jupe relevée, elle frottait son ventre contre la bouche de Sabine. Ainsi positionné notre trio ne me permettait pas de pénétrer Sabine. Je me mis donc à me masturber en insérant un, puis deux doigts dans son mielleux fourreau. Halètements, frottements et gémissements emplissaient le bar. Chose étonnante, l’assemblée ne nous prêtait toujours aucunement attention. Annie se faisait littéralement sucer son abricot d’amour, elle me regardait alors que moi je me masturbais contre les hanches de Sabine. — Ah, mon Merlin, c’est si bon de jouir de la sorte avec toi ; viens, approche et donne-moi ta queue, je la veux dans ma bouche, haleta Annie au bord du plaisir. Sabine s’activa entre les cuisses de son amante, et moi debout devant Annie je me laissais aller entre ses lèvres de feu. Sa bouche était distendue par l’imposant diamètre du tronc. Je voyais ses lèvres rouges soudées à la fine peau. Joues creusées, elle me pompait sans aucune retenue. Sa langue courait sur le tronc, mon corps vibrait. J’avançai encore davantage le bassin, Annie m’engloutit, je cognai au fond de sa gorge. Des larmes roulaient sur ses joues. D’une main, elle maintenait fermement ma hampe en bouche, de l’autre main elle cajolait mes lourdes bourses velues. Soudain elle lâcha ma verge. Annie hurla de joie, Sabine la faisait enfin jouir. Ma hampe esseulée tressautait devant le visage de mon amie, elle gémissait sous les vagues ...

... d’orgasmes. — Branle-toi, mon Merlin, branle-toi pour moi et jouis sur mon visage, cria-t-elle entre deux spasmes. Je m’empoignai prestement et ma main débuta de longs va-et-vient. Le gland violacé se trouvait à quelques centimètres de la bouche féminine qui hurlait sa joie. Debout face à mon ancienne maîtresse, je me masturbais frénétiquement. J’avais une terrible envie de jouir et surtout d’éjaculer sur le visage de cette femme qui m’avait entraîné dans cette incroyable aventure. La tension était à son comble. Sabine avait délaissé l’entrejambe d’Annie. Toutes les deux me fixaient intensément. Mes muscles se tétanisaient, mon ventre se tordait. J’avais l’impression de me dédoubler, je voyais le visage de ces femmes tourné vers moi. Elles continuaient à me regarder, je m’offrais à leurs yeux. Cette sensation de m’exhiber ainsi provoqua un raz de marée terrible en moi. Je chancelais, je sombrais dans la luxure la plus totale. Jouir devant deux femmes mûres et si belles me fit perdre la raison. Foudroyé par le Merveilleux, je hurlais enfin ma joie en me vidant sur les visages de mes aînées. Elles me tenaient les cuisses fermement, comme accrochées à un totem de chair. — Oui, Merlin, oui continue, encore, encore mon Merlin. Elles murmuraient cette phrase comme une litanie. À bout de force je m’agenouillai à mon tour, vidé de toute mon énergie. Je levai la tête d’abord vers Annie. Elle souriait. Joues, menton, cheveux étaient maculés de ma semence. Sabine elle aussi était aspergée, elle ...