L'ivresse des sens - Histoires de Sexe

L'ivresse des sens

... se colla à moi et m’embrassa à pleine bouche. Salive et sperme se mélangèrent.— À mon tour maintenant, lança-t-elle furieusement en plongeant vers mon bas ventre. Je vais te revigorer, mon petit Merlin. Tu vas voir, tatie Sabine va bien s’occuper de toi. Elle me poussa de côté et je me retrouvai allongé sur le tapis d’Orient, la chevelure rousse de l’ancienne actrice collée à mon ventre.— Je vous laisse, mes amours, je vais me refaire une beauté, annonça Annie en quittant le wagon-restaurant. Je la vis disparaître au fond du bar en sentant ma vigueur revenir entre les lèvres de Sabine. DEUXIÈME PARTIE La femme le pompait. Joues creusées, elle s’appliquait patiemment. Balou se laissait faire. Elle l’aspirait entièrement, puis lentement laissait la verge ressortir d’entre ses lèvres, ses dents raclant légèrement la fine peau du membre. Sa langue prenait le relais et courait ensuite le long du tronc. Un observateur attentif aurait vu un brun quadra allongé à terre subir une fellation passionnée de la part d’une femme mûre, rousse et voluptueuse. Balou admirait dans le miroir du bar le rond et blanc fessier de sa fellatrice, nue elle aussi, Adolescent, il s’était souvent masturbé devant les films de Sabine, et là il réalisait un de ses fantasmes les plus fous. Il gémissait, ses doigts caressaient la rousse chevelure coupée au carré. Sabine se releva et le regarda de ses yeux bleus. À cinquante-huit ans, elle avait conservé son charme. Elle se lova contre son amant. — ...

... Prends-moi maintenant, haleta-t-elle. Balou embrassa sa ronde poitrine. Sabine serra le visage de son amant entre ses seins, et lentement entreprit de diriger les ébats. Elle poussa Balou et d’autorité empoigna la hampe pointée vers le ciel. D’une brusque poussée, elle s’empala sur le pieu de chair tout en lâchant un feulement de louve. Devant lui, le garçon voyait tressauter la voluptueuse poitrine de Sabine. Il emprisonna les deux globes entre ses mains et les malaxa tendrement. Sabine rigolait, elle menait la danse, rythmant les va-et-vient sur son amant. Elle le sentait bien au fond d’elle, sa hampe frottant délicieusement contre ses parois intimes. Elle jubilait de prendre ainsi cet homme bien plus jeune qu’elle. Balou admirait la luisante et rouge fente imberbe qui l’aspirait. Son membre disparaissait et réapparaissait, lubrifié et brillant. Il gémit, heureux comme jamais. Il s’accrocha aux fesses de Sabine et tenta d’accélérer ses coups de reins, il voulait jouir là, sur le champ. — Pas si vite, Balounet chéri ! Tatie Sabine veut encore te déguster, lâcha son amante avant de se laisser tomber sur lui et de l’embrasser furieusement. Cette femme est une tornade, pensa Balou en subissant l’assaut buccal de Sabine qui lui dévorait la bouche, en tenant son visage entre ses mains. Elle couinait telle une souris. Son ventre se crispa, le feu du plaisir enflamma ses veines, son sang se fit lave. Elle hurla enfin sa délivrance, empalée sur Balou. Lui aussi se déversa après une ultime ...