1. L'ivresse des sens


    Datte: 25/06/2021, Catégories: fh, ffh, fplusag, asie, frousses, couple, médical, bizarre, campagne, train, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Masturbation intermast, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, attache, fouetfesse, délire, fantastiqu,

    ... poussée dans le ventre de la femme rousse. Une lionne rugissait dans le wagon-restaurant. Personne ne prêta attention au couple sauvagement imbriqué, allongé près du bar écossais. XXX Balou ouvrit les yeux. Il se releva péniblement, ankylosé par les ébats amoureux avec les deux femmes. Il s’accouda au comptoir. Tout d’abord, il ne remarqua rien. Il avait une soif terrible. En cherchant ses vêtements, il s’aperçut de l’étrangeté de la situation. Le wagon était vide ! Il passa ses doigts sur le mobilier. Une couche de poussière s’envola vers le plafond. Il leva la tête et vit des toiles d’araignées au-dessus de lui. Mais où suis-je ? dit-il à haute voix en frissonnant. Il remarqua également que le train ne roulait pas. Le silence avait envahi le wagon. L’angoisse s’insinua en Balou malgré lui. Fauteuils défoncés, tapis moisis, vitres brisées, tel était le décor qui entourait le garçon. Il marcha les pieds nus entre les débris de verre et s’habilla en toute hâte. Balou alla vers le fond du compartiment. Il s’aperçut vite que le wagon-restaurant était isolé sur une voie ferrée, sans locomotive ni autre wagon. L’incrédulité se lisait sur son visage. Il descendit les marches et gagna le bord de la voie. Le soleil étincelait. Les vignes du Médoc s’étendaient de part et d’autre des rails. Aucune habitation au loin. Balou se mit à marcher vers la direction qu’il estimait être le sud, en direction de la ville de Bordeaux. Au bout d’une centaine de pas, la voie ferrée s’arrêtait net. ...
    ... La terre ensuite reprenait ses droits ainsi que les ceps de vigne. Balou courut dans l’autre sens, là également les rails avaient disparu. Ne sachant quel sens donner à cette situation délirante il repartit à pied vers le sud. Il avait terriblement soif. Le soleil à son zénith déversait sur lui ses rayons brûlants. Balou avait ôté sa veste, retroussé les manches de sa chemise, jeté sa cravate au loin. Il transpirait à grosses gouttes. Des vignes, encore des vignes jusqu’à l’horizon. Il avait mangé quelques grappes de raisin pour étancher sa soif, hélas cela n’avait fait qu’accroître son désir de fraîcheur. Boire simplement un grand verre d’eau fraîche était devenu son obsession. Il repensait sans cesse à Annie, à ce qui lui arrivait. Il ne trouvait aucune explication rationnelle. Au bout de plusieurs heures de marche, Balou ressemblait à un pauvre hère. Poussiéreux, les lèvres brûlées, poisseux de transpiration, il s’adossa au seul arbre à proximité. C’est un pin, se dit-il. Logiquement le littoral se rapproche. En réalité il avait marché vers le nord. Il cligna des yeux plusieurs fois. Il crut d’abord à un mirage. Une vaste demeure se dessinait au loin au beau milieu de l’océan des vignes. Rapidement il se remit en route et courut presque vers le château. Il s’agissait d’un petit manoir entre deux tourelles, l’architecte s’étant visiblement fait plaisir en construisant cette bâtisse kitsch. Balou arriva devant l’entrée dont le sol était recouvert de cailloux blancs. Trois ...
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