Les nièces jumelles : saison 2 (7)
Datte: 25/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... de mes coups de reins, je l’aime, j’ai besoin de l’exprimer : — Lucy, oh Lucy. J’ai toujours été amoureux de toi, je te jure. — Idiot. — Je fantasme sur toi depuis toujours. Je me branle tout le temps en pensant à toi. Tu es la plus belle femme que j’ai jamais vue. C’est si bon de te faire l’amour ! Je t’aime ! S’il te plait, soit ma copine ! Pitié ! Je te ferais jouir tous les jours ! — Petit con ! Des amants, j’en ai dix comme toi ! Et eux, ce sont des beaux mecs ! — Non, s’il te plait, Lucy, ne me dit pas ça. Je ne sais pas ce qu’il m’a prit de tout lui avouer comme ça. Sa réponse me déchire. — Tu crois quoi ?! poursuit-elle. Que parce que ta bite me fait du bien que je vais tomber amoureuse de toi ? Pauvre idiot, on tire juste un coup. Dans une heure, je t’aurais oublié. Alors profites-en, parce que tu n’auras plus jamais d’autre occasion comme celle-là. — Salope ! Elle a vraiment le don de me foutre en rogne, ce n’est pas possible ! Elle n’était pas obligée de me parler en des mots si cruels ! Elle va payer ! Tant pis pour son plaisir, je vais prendre le mien. Si c’est vraiment la seule fois où je peux la baiser, autant assouvir tous mes fantasmes. Je la repousse sur le sol, elle se retient de s’écraser les bras en avant. De nouveau à quatre pattes, je sors de son vagin pour me diriger vers sa porte de derrière. Sans même lui demander son avis ou qu’elle n’ait le temps de protester, je m’enfonce dans son cul jusqu’à la garde. — Aaaah ! crie-t-elle. Je n’y fais pas ...
... attention et lui bourre le fion comme un malade. Enculer Lucy, mon ultime fantasme. Je suis amoureux, et j’ai toujours rêvé d’être un amant aimant pour elle, mais plus au profond de moi, il y a toujours eu ce pervers caché qui rêve de lui faire des choses obscènes. Maintenant que je l’ai libéré, je ne réponds plus de rien. Je ne pense plus qu’à l’user et la souiller. Putain, ce que c’est bon, c’est incroyablement serré, c’est difficile de se retenir d’éjaculer. J’ai un éclair de lucidité qui me fait réaliser ce que je viens de faire. Étrangement, elle ne me dit pas "non", elle ne se débat pas, rien. Serait-ce possible que ce ne soit pas sa première fois ? — Tu aimes ça, salope ? — Oui ! — Avoir une grosse bite dans le cul ? — Oui ! — Tu veux que je m’arrête ? — Non ! Allez ! Prends-moi plus fort, salaud ! Défonce-moi le cul ! Mais cette fille va me rendre dingue ! Je joue les derniers des salauds, et elle ose me dire qu’elle aime ça ! Chercher à la faire jouir n’était plus à l’ordre du jour, mais il le redevient. Je la tire par les cheveux et lui ramone l’anus à cette pute. Je veux qu’elle rentre en cour en boitant, que tout le monde sache qu’elle a séché pour se faire enculer, et que les gens fassent le rapprochement avec ma propre absence. Elle ne cesse de crier, si fort que quelqu’un qui passerait non loin pourrait se demander d’où viennent ces cris de chienne. — Aaah ! Continue. Allez, allez, soit pas timide ! fait-elle. Oh, ça, je ne le suis pas, ou du moins, je ne le suis ...