Les nièces jumelles : saison 2 (7)
Datte: 25/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... plus. Je lui grimpe dessus et la monte pour pouvoir la prendre encore plus fort. Je lui perfore le trou de balle comme pour lui creuser un nouveau tunnel. Je suis une bête sauvage, et elle une femelle en manque de bites qui se laisserait sauter par toute une meute. Bon sang, je n’aurais jamais pu deviner que le sexe était aussi bon, je deviens accro. — Putain, je ne vais pas tarder à jouir, me confie-t-elle. Tant mieux, parce que moi, à ce train-là, je vais finir par craquer aussi. Je me suis jamais aussi retenu aussi fort, j’ai mal à la queue, mon jus supplie de sortir, je n’en peux plus. Je la lime de toutes mes forces. Mes couilles pleines claquent contre sa chatte. Je n’ai jamais été aussi dominant de toute ma vie. Son torse s’écroule sur le carrelage, ses yeux sont trempés de larmes de bonheur. Elle attend que je la finisse, puis soudain, elle hurle : — Aaaaaaaaaaaah ! Je vieeeeeeeeeeens ! Ouiiiiiiiii ! Son corps tremble, les muscles de son anus se contractent et enserrent ma bite. Je suis prisonnier, comme si elle m’invitait à me vider dans ses intestins. C’est diablement tentant, mais le pervers qui est en moi à d’autres intentions. Je n’avais jamais vu une fille avoir un orgasme avant, un vrai orgasme ; c’est magnifique. Je sors de son cul à la première occasion et profite le spectacle. Même lorsque ses soubresauts sont terminés, elle a l’air de ne plus savoir où elle est. Je n’ai pas dû lui donner qu’une petite jouissance. C’est à mon tour maintenant. J’ai dit que je ...
... voulais la souiller, et je vais la souiller de sperme. Je veux lui pisser du foutre à la gueule ; j’ai toujours rêvé de la voir recouverte de ma semence. Je la force à se remettre à genoux et me branle devant son visage en la maintenant par les cheveux. — Tu vas prendre, salope ! fais-je. Elle est toujours un peu dans les vapes. Il lui faut du temps pour comprendre ce qu’il se passe, mais lorsque c’est fait, elle ferme les yeux et ouvre la bouche. Putain de merde, on dirait qu’elle a l’habitude. C’est le coup de grâce ! Mes bourses explosent comme jamais au cours de mes branlettes. Je me perds dans l’extase durant la seconde où mon jus grimpe le long ma tige, puis je beugle en crachant une première giclée qui atterrit sur son nez. Une seconde arrive tout aussi copieuse, puis une troisième et une quatrième. Je n’ai jamais éjaculé une telle quantité ni aussi fort. Je n’avais jamais ressenti un tel besoin de me vider. De jouir, de me faire du bien oui, mais pas de devoir expulser désespérément du sperme. Je suis au paradis, je lui donne tout ce que j’ai. Elle avale même les jets que je lui envoie directement dans la bouche. Elle dégouline de partout, des trainées glissent sur ses délicieux gros seins. Je suis presque déçu quand plus rien ne sort de mon méat alors que je suis toujours en plein orgasme. Il me faut un bout de temps pour redescendre sur terre. Wow, je n’en reviens pas. Quel pied ! Quelle baise ! Et surtout, quelle fille ! Quand je reprends un semblant de conscience ...