Deuxième rencontre - Histoires de Sexe

Deuxième rencontre

... sentir l’odeur de mon désir avec un sourire de satisfaction. Elle entreprend ensuite de défaire ma ceinture, d’ouvrir mon pantalon. Elle se plaque à nouveau contre moi alors que je sens ses mains se glisser dans mon pantalon, suivre les pourtours de mon bassin pour enfin caresser la peau nue de mes fesses. Le pantalon glisse sur mes chevilles et finit à son tour contre le mur. Ses mains passent ensuite sur mon torse, sous mon t-shirt qui, bien vite, rejoint le reste de mes vêtements. Me voilà nu, en string, devant eux deux. — J’ai l’impression d’être votre jouet.— Et tu aimes ça ? me demande le mari.— Tout dépend si, enfants, vous étiez soigneux avec vos jouets, dis-je en rigolant.— Très soigneux, surtout avec de si beaux jouets… me répond la femme.— C’est vrai que tu es encore mieux que sur les photos, ajoute son mari en s’approchant de moi. Je sens très vite ses mains puissantes qui se posent sur mes fesses. D’instinct je me cambre, comme pour mieux lui offrir mon cul. — C’est bien, c’est très bien, l’entends-je dire alors qu’une de ses mains me caresse le dos, passe sur ma poitrine pendant que l’autre continue à glisser sur fesses, osant parfois s’aventurer dans ma raie. Tout en fermant les yeux pour mieux ressentir le contact de sa peau sur la mienne, je me penche d’avantage en avant, posant mes mains sur la table et j’écarte les cuisses pour lui faciliter la tâche.— Un beau spectacle que de te voir ainsi offert. Le string met bien en valeur ton petit cul il est vrai. Je ...

... me demande si…. Attendez, je reviens. Je lance un regard interrogatif à sa femme qui visiblement ne connaît pas plus que moi les intentions de son mari. Mais il revient bien vite avec, à la main, une paire de bas nylon noir. — Tu les apprécies sur ma femme, tu les avais évoqués en SMS. Je me demande comme tu serais avec. Met-les s’il te plait. Cela devrait aller à ravir à tes longues jambes. Je m’exécute, mettant tant bien que mal les bas autofixants qu’il m’a tendus. Par chance, ils sont à ma taille et m’arrivent en haut des cuisses. — C’est pas mal, dit-elle, j’avais peur qu’avec les poils cela soit ridicule mais non finalement… assez excitant même. Ils recommencent tous les deux à me caresser. Je reprends ma position offerte, m’appuyant sur la table, plus excité que jamais. À chaque frôlement de leurs mains sur ma peau ou sur le nylon de mes cuisses, je sens d’ailleurs une grosse goutte perler de mon gland et venir souiller mon string de plus en plus moite. Une main se glisse soudain entre mes fesses, remontant le long du string jusqu’à mes bourses sur lequel bave mon gland. — Mais tu es tout trempé, me susurre le mari à l’oreille tout en me malaxant la queue à travers le tissu. C’est encore pire que ma femme… Tiens regarde. Il retire sa main et exhibe sous mon nez ses doigts tout poisseux de ma propre excitation. — Vas-y, lèche les, nettoie-les bien. Il les pose sur mes lèvres, appuie doucement pour en forcer le passage. Ce n’était pas nécessaire, je les écarte aussitôt ...