Deuxième rencontre - Histoires de Sexe

Deuxième rencontre

... et entreprend une belle fellation. — Tu devrais lui caresser le minou, me suggère-t-il. Je glisse alors ma main sous son string et, dès que je pose un doigt sur sa vulve détrempée, elle frémit de plaisir. Devant un tel message d’encouragement, je me mets tantôt à frotter son clitoris, tantôt à plonger mon doigt au plus profond de sa chatte. Je n’en oublie pas pour autant mon travail de nettoyage de sa poitrine. Ainsi sollicitée, elle ne tarde pas à jouir à son tour, précédant de peu son mari dont la bite explose dans sa bouche. Après avoir tout avalé, elle se redresse et ouvre soudain des yeux éberlués en regardant l’horloge. — Tu vas être en retard, me dit-elle alors. Je ne peux hélas que constater l’heure déjà tardive, m’empresse de quitter les bas, de remettre mon string encore moite, mes vêtements et de partir au plus vite, non sans les avoir salués et remerciés chaleureusement. Arrivé au boulot, je leur envoie rapidement un texto : — Encore merci, c’était super. J’avoue que je me suis surpris moi-même. Ils me répondent bien vite : — Nous aussi il faut bien l’avouer. Nous pouvons t’appeler là ?— Oui pas de problème. Mon téléphone ne tarde pas à sonner. Ce sont eux. — Allo ? Est-ce que ça va ? ...

... me demandent-ils.— Oui, bien. J’ai un peu de mal à retrouver mes esprits mais ça va. J’ai l’impression de ne pas avoir été moi-même, dis-je en riant. J’espère ne pas vous avoir trop déçus.— Tu veux rire ? Tu étais très bien : doux, attentionné, coquin, terriblement coquin même. Nous avons adoré. Tu sais, nous non plus nous n’avons pas l’habitude que ce soit aussi chaud. Tu as un petit côté soumis que nous avons découvert et bien apprécié l’un comme l’autre. J’espère que nous aurons l’occasion de le développer d’avantage, qui sait.— Si vous le souhaitez, pourquoi pas… oui, avec plaisir.— Nous en avons parlé entre nous. Nous avons confiance en toi. Nous aimerions pouvoir franchir une étape si tu n’y vois pas d’inconvénient. Que nous fassions tous un test HIV pour pouvoir au moins se lécher sans retenue. Voilà une idée qui me convient tout à fait, ayant été moi même un peu frustré par cette limitation durant ce premier échange. J’acquiesce donc et nous raccrochons ensuite bien vite, chacun retournant à son travail ou ses occupations. Le soir, en rentrant à la maison, je dis à ma femme que j’ai fait la connaissance d’un couple de Rochois au parc. — Ah ? Ils sont sympas ? me demande-t-elle.— Oui, très…