1. Le Cul de Maman


    Datte: 10/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Quand elle m'a récupéré j'étais une loque, au fond du trou, bon à rien, sans réaction. Les coups portés par la vie avaient été trop forts, ils m'avaient peu à peu détruits. A force de taper sur la tête de quelqu'un, il finit par lâcher prise et en fin de compte à sombrer peu à peu. Elle a été patiente avec moi. Les premiers temps je n'ai fait que dormir dans ma chambre de gosse, dans mon lit d'une personne, celui de mon enfance, mais de mon adolescence aussi. Celui où j'avais rêvé des filles, celui où je m'étais caressé et puis où je m'étais masturbé sans vergogne, maculant les draps de mon sperme. A l'époque elle s'en était rendue compte mais elle n'avait rien dit, changeant mes draps régulièrement, m'offrant de nouveaux tissus où je me répandais sans retenue. Et puis, avec le temps, je changeais de méthode, j'utilisais mes mouchoirs et mes draps ne portèrent plus les traces de mes séances de branles. Je pensais à tout cela dans mon lit, quand je me réveillais, les yeux au plafond, dans mes rêves, je suivais une lézarde dans le plâtre et mon imagination s'envolait loin de la petite pièce où je reposais. Et puis petit à petit j'ai remonté la pente. Maman, à force de sourires et de bons petits plats, ceux que j'appréciais tant avant, me sortit de ma torpeur douloureuse. Je finis par oublier peu à peu ces coups qui m'avaient mis à terre et je reprenais gout à la vie. Nous parlions ensemble de longs moments. A soixante six ans, maman était veuve depuis près de dix ans ...
    ... maintenant, elle me racontait sa solitude, mais aussi ses souffrances avec mon père. C'est vrai qu'il était dur mon paternel et je les ai entendus s'engueuler plus d'une fois. Des disputes éclataient à propos de tout et de rien. Je ne comprenais pas pourquoi, j'étais terrorisé, moi, le petit enfant tiraillé entre ces deux êtres. Ma mère a toujours fait ce qu'elle devait dans ces cas la, c'est-à-dire me protéger de la violence paternelle. Me retrouver en tête à tête avec elle, a renoué les liens un peu distendus entre nous, une situation propre à la confidence. Alors maman m'a dit combien elle fut malheureuse avec et homme qui n'hésita jamais à la tromper avec la première venue. Et quand je dis la première, je devrais plutôt parler de la dernière, la plus pourrie des putes du coin, comme celle qui lui fourgua la syphilis alors que maman était enceinte de moi. Bien sur il continuait à baiser sa femme dans le même temps. Le médecin qui suivait maman a bien vu les dégâts et il a donné un traitement à ma mère, mais en fin de compte mon père lui piqua ses médocs pour son propre usage, ou bien pour sa salope, allez savoir! En fin de compte ce fut sans conséquence pour ma mère et pour moi. Maman me racontait sa vie, je l'écoutais sans l'interrompre, juste une petite question pour préciser un point ou un autre, relancer la machine. Maman se confiait bien volontiers et petit à petit j'appris l'essentiel de sa vie. Une vie morne en fin de compte auprès d'un homme qu'elle n'aimait guère, un homme ...
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