Le Cul de Maman
Datte: 10/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... qui lui faisait subir ses envies qu'elle supportait en serrant les dents. Parfois des larmes lui venaient aux yeux et j'étais tenté de la prendre dans mes bras, une chose dont je n'avais pas l'habitude, mais je savais qu'elle attendait le geste et je le faisais volontiers. Nous restions ensemble ainsi, serrés l'un à l'autre pendant de longues minutes, sa tête contre ma poitrine. Je lui caressais la nuque, le dos, sans oser aller bien plus loin. Je sentais bien que je n'étais pas indifférent à ces étreintes et que ma bite avait des velléités de redressement quand je sentais ses seins lourds écrasés contre mon corps. Mais je résistais! Et puis notre intimité a pris un autre tour, maman a pris l'habitude de me demander de lui soigner de petits boutons, de petites rougeurs. Elle faisait sa toilette et je l'entendais m'appeler dans la salle de bains, j'arrivais, passant timidement la tête par l'entrebâillement de la porte, je la voyais en combinaison soyeuse, elle me demandait de regarder sous son bras ce bouton qui la gênait. Je me penchais sur son bras levé, je regardais, je la rassurais et je lui passais de la crème apaisante sur le bouton. Cela devint fréquent qu'elle m'appelle ainsi auprès d'elle. Je venais bien volontiers, parfois troublé de la voir ainsi en dessous devant moi. C'est vrai que j'étais sevré de femme, mais de la à être troublé par ma mère, je n'en revenais pas. Et puis les boutons étaient parfois forts mal placés. Sous les bras souvent, oui mais parfois un ...
... peu bas, à la naissance d'un sein ou carrément sous le sein. Dans ces cas la, elle n'avait pas sa combinaison, même pas son soutien gorge. Elle se tenait le sein pendant que j'inspectais sa peau et puis je passais gaillardement ma crème, de plus en plus troublé, et même parfois bandant. Une autre fois le bouton se trouva sur sa cuisse. Elle releva sa combinaison pour me dévoiler le haut de sa cuisse, je devrais même dire sa fesse, et je la tartinais de crème à l'endroit qu'elle m'indiqua. Ce petit jeu très trouble était pourtant assez naïf. Je ne soupçonnais pas maman de vouloir m'aguicher. Pourtant je la voyais de plus en plus en petite tenue, c'était son habitude de femme ayant vécue seule un long moment. Elle ne se gênait pas et parfois je la voyais déambuler en culotte et soutien gorge sans se soucier de pudeur à mon endroit. Nous vivions une espèce de vie de couple. A force de ces jeux, je me mis à la regarder autrement. Je lui trouvais de beaux restes, mais étais je impartial? Je regardais son corps rond d'une autre façon, ses fesses surtout, des fesses bien rondes, bien dodues, cambrées, comme une offrande. Ses seins aussi m'attiraient, des seins alourdis par l'âge mais aussi par un forcissement qui les faisaient peser de plus en plus sur son ventre arrondi lui aussi. Maman était donc ronde je ne peux le cacher plus longtemps. De temps en temps je la voyais maussade, surtout le matin mais au début je mettais cette tristesse sur le compte de son veuvage, de sa tristesse ...