1. LA MATURE ÉPERDUE – Dévergondages, suite et fin -18


    Datte: 28/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de son mari qui a une conduite, proche de celle d’Edmond, se demandant se qui a provoqué ce changement soudain après vingt-cinq ans de mariage. Les deux femmes se séparent, après s’être embrassées langoureusement et caressées brièvement. Le mardi, Edmond lui téléphone pour lui demander de se libérer le jeudi après-midi jusque tard le soir. Par chance, son mari doit justement être d’astreinte jusqu’au vendredi, donc il ne rentrera pas jeudi soir. Elle se demande, jusqu’où va l’entraîner encore ce diable de notaire. Il lui faut s’avouer que ce sexagénaire, célibataire endurci a tout pour lui : bel homme, bien entretenu et riche, il est un séducteur né. Sa perversité raffinée, a un ascendant incroyable sur Odile. Le chantage, à la base de leur relation, a fait place à une véritable soumission de la part de la belle mature qui est prête à accepter les propositions les plus inconvenantes du vieux mâle dépravé. Lorsque le jeudi, à 15 heures, Odile gare sa Twingo dans le garage de la place Mitchell, le coupé BMW d’Edmond est déjà garé. Odile en montant l’escalier privatif qui la mène au loft, frissonne en pensant à ce qu’Edmond va lui faire encore subir. L’excitation du plaisir annoncé dépasse de loin, l’appréhension de l’humiliation ou même de la souffrance. D’ailleurs, elle sent déjà sa chatte s’humidifier… La première chose que vérifie le notaire, lorsqu’Odile ouvre la porte, c’est de s’assurer que sa soumise ne porte ni culotte, ni soutien-gorge. En tâtant la vulve, il constate ...
    ... que sa proie est déjà bien mouillée, preuve s’il en est, qu’elle se prêtera à toutes ses envies. « Ma petite chienne lubrique dégouline déjà, tu deviens vraiment une petite pute ma Chérie. Allons à poils et plus vite que ça ! » Sous les mots insultants du notaire, Odile pâlit surprise de la brutalité inhabituelle d’Edmond qui la vouvoie habituellement, mais qui peut passer au tutoiement trivial d’un seul coup, fouettant son orgueil et la perception des valeurs auxquelles elle est attachée. Pourtant, elle se hâte d’enlever la jupe et le corsage qui la recouvraient, se retrouvant en bas et en porte-jarretelles comme l’exige son suborneur, mais sans aucun dessous. Edmond savoure cet instant, il s’est armé d’une cravache et il s’amuse à frôler les tétons saillants des jolis seins en poire, qui s’alourdissent quelque peu, donnant quelques légers coups sur les fesses bien pommelées, pour enfin glisser la tige entre les cuisses et venir titiller la vulve, faisant trembler la pauvre mature, qui ne sait pas s’il va la corriger ou non. Edmond se coule dans son dos, alors qu’Odile se tient immobile. Il lui passe un foulard noir sur le visage, l’aveuglant, puis, il lui fixe dans le dos une paire de menottes aux poignets, et il lui demande d’écarter le plus possible les jambes. Enfin, il va jusqu’à la porte de la salle de bains qu’il ouvre, s’adressant à un homme invisible. « Mon Cher, j’ai une délicieuse putain qui nous attend pour que nous la baisions et l’enculions toute la soirée et ...
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