LA MATURE ÉPERDUE – Dévergondages, suite et fin -18
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... toute la nuit si nous en avons envie. J’espère que vous êtes en forme, car la chienne est insatiable et nous allons la faire gueuler sous nos queues réunies » Odile est paniquée par la vulgarité dont fait preuve le notaire, qui se comporte très rarement de la sorte, mais jamais à ce point. Pourtant, depuis qu’Edmond l’oblige à s’exhiber en public, malgré sa honte, elle apprécie les regards portés sur son corps par d’autre hommes, comme la « divine salope » qu’elle est en train de devenir. Elle en frissonne d’humiliation et de volupté mélangées ! Lorsqu’elle sent deux corps nus masculins se frotter contre elle, l’un devant, l’autre dans son dos, elle est bien incapable de différencier celui d’Edmond et celui de l’inconnu. Les deux hommes se plaquent contre elle, lui faisant sentir leurs sexes rigides qui s’insinuent entre ses cuisses et entre ses fesses. Ils tripotent à tour de rôle ses seins, sa croupe, sa chatte. Des doigts s’introduisent dans la raie culière, d’autres percent la rosace et s’enfoncent dans l’anus. Une bouche prend la sienne et une langue la pénètre, une autre bouche mord sa nuque. Elle est affolée par toutes les sensations de son corps qui subit des attouchements multiples. Lorsque des lèvres prennent possession de son vagin, elle grogne de plaisir, pliant ses genoux pour s’offrir encore davantage. Elle coule de plus en plus, surtout que bientôt, des doigts la doigtent furieusement. Elle crie et hurle sous la jouissance qui déferle en elle, expulsant le ...
... jus de la femme fontaine qu’elle est devenue. C’est à ce moment que son foulard est retiré et qu’horrifiée, elle découvre son mari, assis entre ses cuisses, qui vient de la faire monter aux rideaux et qui la contemple goguenard. Comment Michel peut-il se trouver là, avec son amant, dans ce loft, où elle a subit tant de turpitudes ? Les deux hommes n’ont pas l’intention de lui donner d’explications immédiates. Ils l’entraînent sur le lit. Michel lui enlève les menottes pendant qu’Edmond s’allonge, le vit dressé comme un mât. Michel fait mettre son épouse à genoux sur le bord du lit, lui demandant de se mettre à califourchon sur le notaire et de s’enfoncer sa verge dans le con. Ce n’est pas la première fois qu’Odile prend cette position qu’elle adore. Écartant de deux doigts les grandes lèvres, elle s’enfonce sur le pieu rigide jusqu’à toucher l’utérus. Il faut avouer que l’engin notarial n’est pas seulement épais et large, il est d’une longueur digne d’un « hardeur ». Edmond palpe les seins, et les malaxe et en plus presse les tétons turgescents qui sont à portée de main, puis, il les pince, les vrille et les tord entre le pouce et l’index, les allongeant de plusieurs centimètres jusqu’à ce que la belle mature gémisse de douleur et de plaisir mélangés. Elle aime ce supplice qui l’excite au plus haut point, la souffrance la faisant défaillir lorsque le pincement cesse sur les bouts, la brûlure irradiant tout son corps. Alors qu’Edmond cesse de martyriser les seins d’Odile, il la ...