Mamie Geneviève (14)
Datte: 29/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Mamie Geneviève 14 J’ai encore des larmes dans les yeux quand, ma fille Virginie et moi, rejoignons les enfants. Ils remarquent bien mon chagrin, mais ne posent aucune question. D’un élan spontané, tous deux m’enlacent pour me réconforter. J’ai droit à de nombreux baisers dans le cou et leurs câlins me remontent le moral. Virginie n’a pas de place pour m’enlacer, mais le cœur y est. Ce coquin de David, ondule du bassin et, si il se frotte contre ma hanche, c’est pour y faire rouler son membre qui durcit. Je suis prisonnière de leurs bras et me laisse bercer par leur tendresse. Je glisse une main sur la braguette de mon petit fils et y tripote son cylindre de fer. Encouragé par ma palpation, David libère son sexe pour que je m’en saisisse. Inexplicablement, le contact de mes doigts sur la peau douce de son membre, me réconforte. Si il est dans cet état, c’est pour moi ! En mon for intérieur, je prends conscience du désir que j’éprouve pour David. Désir que j’ai accumulé toute la journée, et également du besoin de vengeance posthume qui m’anime, vis-à-vis de mon porc de mari défunt. Tandis que Christelle me caresse le buste, en me mordillant les lobes d’oreilles, Virginie s’approche de son fils. Je constate avec étonnement, son empressement à le déshabiller. Quand je reprends le sexe en main, Virginie se colle contre le dos de son bel étalon de fils pour lui masser le fessier. De voir cette colonne dressée me fait trop envie ! Je m’agenouille et la prends en bouche. D’une ...
... main, je flatte les testicules de l’autre, tiens fermement la hampe rigide. Mon petit-fils se laisse sucer en fermant les yeux, quand il s’exclame brusquement : — Oh ! Maman, qu’est-ce que tu fais ! — Laisse-moi faire mon chéri ! J’ai bien senti le contact de mes doigts sur ceux de ma fille, au niveau du périnée de son fils, mais là, ils s’activent bien près de l’anus. Le fait de se faire doigter le cul par sa maman, provoque à David une érection incroyable. Il se met à râler de bonheur et sa verge grossit un peu plus entre mes lèvres. Christelle ne reste pas inactive, et, entre deux caresses, effeuille mes habits. Elle s’agenouille derrière moi et se colle à mon corps pour me pétrir la poitrine, tout en mimant un coït. Son pubis cogne mon sillon fessier avec ce rythme caractéristique. Elle délaisse un sein pour chercher mon entrejambe et trouve aisément mon clitoris. Bon sang ! Comme elle s’y prend bien pour m’exciter ! Je n’arrive plus à respirer, tant je suis émue par ses caresses. Elle abandonne mon bouton et deux doigts me pénètrent au bord du vagin. Constatant combien je mouille, ma petite-fille déclare : — Elle est prête, tu peux y aller ! Elle me fait mettre à quatre pattes, alors que son frère se place derrière moi. Sa pénétration est bienvenue, il va avec douceur, même si je pressens son irrésistible envie de me saillir plus brutalement. J’apprécie sa délicatesse et la maîtrise de ses pulsions masculines. Virginie s’est assise sur une chaise, face à moi, alors que ...