Mamie Geneviève (14)
Datte: 29/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... m’abandonne, avec plaisir, à la langue de mon ensorceleuse petite fille. Elle se révèle experte, pour nous apprendre le sexe, du haut de ses dix-huit ans. Je reconnais qu’elle est drôlement expérimentée. Comme je regrette de n’avoir pas été comme elle ! Moi, la femme qui se voulait sérieuse et dévouée à un mari, que j’ignorais pervers ! En repensant à ce type, je me renfrogne, ce qui étonne les deux jeunes. C’est un secret de famille qui me pèse et je décide de le leur révéler. Quand j’aborde le sujet, Virginie m’interrompt : — Maman, si tu veux, je vais commencer, mais avant cela, rhabillons-nous et allons nous asseoir. Ça va être nécessaire pour moi, mais aussi pour vous les enfants. Mes petits enfants restent pantois, en entendant le récit que leur fait leur mère, qui dévoile tout ce qu’elle sait. En particulier que son père abusait d’elle. Je n’ai rien à ajouter et surtout pas que Sabine, la mère de Bastien, est une victime collatérale des frasques de feu mon époux. — Mais alors, tante Agnès … Elle aussi ? Demande David. — Très certainement ! Dis-je, en acquiescant. — Tant que l’on est dans les confidences sur les maris dévoyés, il faut que tu saches maman, que, dernièrement, papa m’a mis la main au cul, en insistant bien entre mes jambes. Déclare Christelle. — Il m’a fait la même chose ! Ajoute spontanément David. Virginie devient livide et bafouille : — C’est pour ça que … Que vous êtes partis de la maison ? D’un hochement de tête des deux jeunes, ma fille obtient ...
... confirmation. Virginie est si bouleversée, qu’elle devient aphasique et vient se blottir dans mes bras. — Maman ! Mon mari est un salaud, comme … papa. Qu’ai-je fait pour mériter ça ? Je fais tout ce qu’il veut ! — Et moi donc ! Qu’ai-je fait pour qu’il s’en prenne à vous ! Ne t’en fais pas ma chérie, je crois que tu as trouvé, avec tes enfants, de quoi te venger de lui. — Tu crois que je devrais le quitter ? — Ca fait un moment que je le pense, mais la décision t’appartient ! David et Christelle se serrent contre leur mère et, petit à petit, l’arrachent de mes bras. Je regarde ce trio avec compassion. Je remarque toutefois que les gestes tendres, vis-à-vis de leur maman, se transforment en caresses de plus en plus précises. — Oh mes chéris, comme je vous aime ! Mais, David ! Que fais-tu ? — Nous aussi nous t’aimons et nous allons te le montrer, maman ! Je me lève pour prendre le fauteuil en face, et assister à une scène d’amour total, entre ma fille et ses enfants. Alors que Christelle la couvre de baisers, David s’est couché sur elle pour la saillir avec délicatesse. A la façon dont Virginie enserre son fils, je suis convaincue qu’en ce moment, elle ne pense plus à son mari. A l’issue de leur union des plus charnelles, j’attends un peu, avant de déclarer : — Les enfants, je constate que vous n’avez pas besoin de moi, au moins pour quelques temps. Je fais taire leurs protestations d’un geste de la main et ajoute : — Je souhaite aller passer quelques jours chez Agnès, pour aborder ...