La gêne et le plaisir - Partie 5
Datte: 30/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Je me réveillais, toujours enveloppée de la couverture, couchée sur le canapé. Je ne vis aucune trace ni de Damien ni de Jacob. J’ignore comment il y était parvenu sans me réveiller, mais Damien m’avait remis ma ceinture de chasteté et menotté les mains. Je le regrettais, je me serais bien laissée allée à une petite caresse matinale… Je me levais et me rendis dans la cuisine, en boitillant légèrement, les muscles endoloris et les fesses encore cuisantes. Damien préparait le petit déjeuner. Il avait fait griller des toasts et fait chauffer du lait. - Bonjour, Soumise ! dit-il gaiement. Prête pour une nouvelle journée de servitude ? Son enthousiasme me mit du baume au cœur, même si je redoutais désormais ses trouvailles. - Oui Maître, tant que ça reste entre nous, dis-je en beurrant un toast, tâche peu aisée les mains liées. - Ce sera un tête à tête pour le restant du week-end, rassure-toi. Je mordis dans mon toast puis le posais pour prendre une gorgé de lait. Une fois que j’eu bu, Damien prit mon assiette, en jeta le contenu dans la poubelle et vida ma tasse dans l’évier. Cette injustice me laissa pantoise. Que cherchait-il à faire ? Mon ventre criait famine. - Va mettre une paire de baskets, on va aller faire un tour dehors. - Une paire de baskets et… ? - C’est tout. La journée commençait mal. N’étant pas du matin, je peinais à retrouver l’enthousiasme de la veille. Je montais et enfilais mes baskets, pour ensuite ...
... redescendre et me préparer de mauvaise grâce. Damien me fit attendre debout, attachée par la laisse à la rampe d’escalier, tandis qu’il terminait son petit déjeuner, assis à table. Je fulminais. Puis ensuite il monta à l’étage et j’entendis le bruit d’une douche. Il me fallut attendre patiemment qu’il fasse sa toilette et toutes les activités du matin. Il prit consciencieusement son temps, alors que le savais capable de se préparer en dix minutes top chrono en temps normal. J’avais envie de retourner me coucher, mais je n’osais pas détacher la laisse. Damien descendit l’escalier, enfila sa veste et son sac en bandoulière, et m’entraina dehors en passant par derrière, tirant sur ma laisse. Je voulu freiner des quatre fers quand il ouvrit la clôture pour m’emmener dans la forêt. Je me doutais qu’à cette heure ci nous ne croiserions personne, mais l’idée de quitter le cadre sécurisant de la maison et du sentier m’inquiétait. Je dû pourtant me résoudre à le suivre. Il faisait frais, et j’avais une sacrée dégaine, nue, trainée en laisse par lui qui était normalement habillé. C’était une belle journée de printemps, mais je ne parvenais pas à dépasser ma mauvaise humeur matinale. Je trouvais notre balade champêtre absurde. Soudain, alors que nous étions dans la partie la plus touffue de la forêt, Damien se jeta sur moi et me plaqua contre un large chêne. - Dis moi que tu es ma soumise, dit-il. - Je… je… je suis… - Dis-le sinon je jette la clef de la ceinture dans le ravin, et alors bonne ...