La gêne et le plaisir - Partie 5
Datte: 30/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... maison, et baissais ma culotte pour uriner avec soulagement. Je rentrais, génée par cette obligation d’avoir eu à agir comme un animal une fois de plus. Je voulu remettre ma ceinture, mais Damien me fit signe de déguerpir sans. Je remontais et tentais de me remettre au travail. Deux heures plus tard, vers l’heure du déjeuner, pour tromper la faim, je me laissais aller à un un petit plaisir. Je frottais mon sexe contre le tissu poreux de ma chaise à travers ma culotte. Les mains crispées sur le bureau, j’intensifiais mes gestes, et finis par baisser ma culotte et me masturber à la main. Ce fut le moment que Damien choisit pour entrer. Je ne l’avais pas entendu arriver – peut-être étais-je trop absorbée par ma tâche, ou peut-être s’était-il glissé discrètement à l’étage pour me prendre sur le fait. - Petite chienne… se moqua-t-il. Je ne peux pas te laisser une heure seule sans que tu te touches comme une salope. Je t’ai pourtant interdire de jouir sans mon autorisation, non ? Je me statufiais, craignant la punition qu’il allait certainement m’infliger. - On va passer une après-midi intéressante, toi et moi. Tu as faim ? J’hochais la tête. - Il va falloir aller te l’acheter toi-même. Mais d’abord on va te choisir une jolie tenue. Il ouvrit tous mes tiroirs et tira les vêtements qui l’intéressait. Il tira un T-shirt bleu moulant, une jupe blanche vaporeuse et une écharpe rose à paillettes. - Pour cacher ton collier, l’écharpe. Après m’avoir détaché, il me laissa m’habiller. Je ...
... n’eu pas la stupidité de lui demander quoi mettre comme sous-vêtement. Le T-shirt moulait ma poitrine et surtout mes tétons ; ma jupe fort heureusement m’arrivait en dessous du genoux, mais vaporeuse comme elle était, elle nécessitait toujours de porter une culotte couleur chaire, et se soulevait au moindre coup de vent. Elle ne révélait rien de ma nudité mais je craignais qu’elle s’envole, révélant mon impudeur, et même pire, mon absence de poils… - Mets tes baskets, me dit-il en bas. Puis nous sortîmes de la maison. Nous montâmes dans sa voiture. - Soulève ta jupe avant de t’assoir, pour être directement en contact avec le siège. Je frémis en sentant le cuir chaud contre mon ma peau. J’attachais ma ceinture, qui passait au travers de ma poitrine, frottant contre mes tétons. Nous fîmes le trajet en silence. Sur le parking de la supérette qu’il avait choisi, il se gara dans une allée reculée, à l’ombre. - Très bien, tu as le droit de t’acheter un concombre, une carotte et du yahourt, dit-il en me tendant un billet de dix euros. Je me détachais ma ceinture. - Attends, je n’ai pas finis. Quand tu seras dans le magasin, tu vas trouver un mec, l’aguicher, et tu lui diras de te suivre. Derrière la voiture, tu soulèveras ta jupe et tu lui demanderas de t’écrire « chienne » sur les fesses et d’inscrire son numéro. C’est clair ? - Oui, Maître. - Caresse-toi avant de partir. Je regardais autour de moi avec angoisse. - Obéis. Il n’y a personne. Et si quelqu’un passe, ce sera probablement ...