1. Elle et Elle (5)


    Datte: 01/07/2021, Catégories: Lesbienne

    ... J’embrassai son cou, là où quelques veines bleues battaient sous la peau musquée. Audacieuse, je baissai ma tête sur elle et je me mis à sucer un des petits seins de Laetitia tout en pelotant l’autre du bout des phalanges : j’en avais trop envie. Elle poussa un bref soupir de surprise. Elle me l’avait confié, à cette époque désormais nébuleuse dans ma mémoire où nous n’étions que des amies : ses seins étaient extrêmement sensibles. Dans de bonnes conditions, quelques caresses sur sa poitrine pouvaient suffire à la conduire vers l’extase. J’espérais juste savoir m’y prendre pour la satisfaire... Du bout des doigts, je touchai la pointe de son sein, la frottai doucement, la tordit entre mon pouce et mon index. Elle gémit, se cabra de haut en bas, son corps souple comme une liane. La peau de ses seins et de son ventre se couvrirent de chair de poule. Un de ses feulements aigus fut coupé net par une vague de plaisir, le souffle emprisonné au fond de la trachée. Entre mes lèvres, je suçai l’autre sein, d’abord timidement – j’étais en train d’apprendre. J’adorais la saveur salée de sa peau en train de se couvrir de sueur, et les frissons que je devinais sous l’épiderme. Elle avait le goût de quelque chose qui a été créé pour plaire. Enthousiaste, je caressai ses petits seins avec mes lèvres pleines, avec ma langue. Je tournai autour de la pointe, en cercles concentriques. Je lavai ses seins avec ma bouche. Elle se mit à haleter, et s’arqua contre moi, comme si elle avait voulu ...
    ... que son sein pénètre tout au fond de ma gorge. C’est vrai que j’aurais adoré... Son sein fondit dans ma bouche, suave, sensible, délicieux. Je suçai son téton hypersensible, profondément en bouche, je le tétai sauvagement, la faisant gémir avec un plaisir désinhibé. Je pouvais le sentir pulser sous ma langue, alors que j’en léchais le pourtour avec amour. On poussa un intense gémissement de gorge au même instant. Les plaintes de plaisir que j’arrachais à Laetitia me procuraient un intense plaisir à moi aussi, en écho. La faire jouir me faisait jouir à mon tour. On partit au même moment dans un mini-orgasme et on fusionna dans les bras l’une de l’autre, nos mains massant la pulpe de nos corps. Elle passa ses petits seins durs contre les miens. Ils étaient couverts de transpiration, tout glissants. Nous laissâmes nos poitrines se régaler l’une l’autre pendant un long moment, n’entamant que des mouvements très doux et lents. C’était un moment de pure tendresse, très mignon. Je l’entendais respirer dans le creux de mon oreille. On se prit les lèvres une ou deux fois. Sa main descendit dans le creux de mes reins, le long de mon échine, jusqu’à mon cul. Elle pelota celui-ci et laissa un doigt jouer entre mes deux fesses. C’était incroyablement doux, intime, adorable. Une de mes mains courait le long de son flanc jusqu’à l’endroit où nos seins s’épousaient. J’en tâtai la chair. Je serrai mon amante tout contre moi, et j’introduisis ma langue dans son oreille, en suivant les petites ...