Comment le jardinier est devenu "le défricheur.1
Datte: 01/07/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Ou comment le jardinier est devenu le « défricheur ». Vous me connaissez sous le nom de « Maître » ou de « Défricheur » ou encore du jardinier. Mais il faut que je remonte 9 ans en arrière pour vous raconter mon histoire. En ce temps la je n’étais qu’un jeune homme, fils de paysan. La maladie venait d’emporter toute ma famille. Monsieur le Curé savait que le couvent voisin recherchait un jardinier car le vieux Anselme venait de mourir de sa bonne mort, et de la divine bouteille. J’étais un petit jeunot de 15 ans entouré de bonnes sœurs voilées de la tête aux pieds, ne voyant d’elles que leur visage. Pendant trois ans, je binais, sarclais, bêchais le potager qui nourrissait tous ces bouches féminines. Mon logis était spartiate, une misérable pièce au sol de terre-battue et un lit fait d’un matelas de crin. Pour mes ablutions, je devais me servir d’un tonneau d’eau froide et d’un sceau au fond du jardin. Quand je prenais une douche, j’avais souvent l’impression qu’on m’observait derrière les carreaux. Mon corps devenait plus fort, ma physionomie changeait doucement. C’était un été horriblement chaud. Les bonnes sœurs devaient cuire sous leur tunique. Un jour de canicule, je bêchais un petit lopin de terre torse-nu, en sueur, et j’ai eu un étourdissement, la chaleur sans doute. Deux moniales qui cueillaient des fleurs se sont précipitées, complètement affolées et m’ont amené à l’infirmerie. J’étais le seul patient. Sœur Geneviève m’installa dans une pièce modeste, mais comparé ...
... à mon taudis, j’étais comme un roi. - Que m’est-il arrivé ? Demandais- je inquiet. -Vous avez pris une insolation, quelle idée de travailler comme ça en plein soleil ! Vous allez vous reposer jusqu’à demain-matin et ça devrait aller mieux. Mais je vais vous confier à sœur Thérèse et une petite novice sœur Marie, pour qu’elles vous nettoient un peu. Vous êtes couvert de crasse ! Quelques instants plus tard, les deux nonnes entraient dans la chambre. - Nous venons faire votre toilette, annonça sœur Thérèse. Un peu de propreté ne vous fera pas de mal. Puis s’adressant à la novice : - Vous en avez de la chance, sœur Marie. Nos malades sont rarement aussi beau garçon. Nous allons devoir le laver de la tête aux pieds. Sœur Thérèse en avait vu d’autres, Elle s’approcha de moi et retira le drap. -Venez m’aider sœur Marie que nous lui retirions son pantalon, soulevez-vous Germain, ce sera plus facile. - Mais sœur Thérèse, il va être nu ? - Et alors ! Vous en verrez d’autres ma petite, mais j’avoue qu’il y a longtemps que je n’ai plu vu un homme nu. C’est un jeune homme fort et vigoureux et j’ai peur de me laisser tenter pas le Diable aussi je préfère vous le laisser laver seule. Une fois mon corps dénudé, sœur Thérèse va pour quitter la pièce non sans se retourner sur ma nudité. -Mon Dieu ! Qu’il est bien outillé !!! Il a entre les jambes un sacré gros morceau. - Mais s’il est « ému », fit sœur Marie affolée. Que dois-je faire ? - Il risque de vous rendre les honneurs… Votre devoir ma ...