1. Comment le jardinier est devenu "le défricheur.1


    Datte: 01/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... fille, votre devoir ! Et elle referma la porte laissant seule avec moi la novice. La jeune nonne s’approcha de moi. Un peu de gêne se lisait sur son visage quand ses yeux se posèrent sur mes organes génitaux. - Je dois vous laver entièrement. Laissez-moi faire, je serai très douce. -Je vous laisse œuvrer, ma sœur. La jeune novice s’appliquait de son mieux, savonnant et rinçant mon corps avec dextérité et légèreté. - Vous êtes un amour et vos mains sont si douces, on dirait que ce n’est pas la première fois que vous faîtes ça ! - J’ai eu un fiancé qui est décédé de la même maladie que vos parents, j’ai du le soigner alité pendant presque un mois et je lui faisais sa toilette tous les jours. Je l’aimais tellement qu’à son décès, je me suis retirée dans ce couvent Apostolique pour prier et m’interroger sur mon avenir. Je sais comment réagit un homme. Mais vous êtes très différent de lui… Mon fiancé était moins bien équipé. Étonné, je lui demandais, n’ayant aucune expérience en la matière. - Que voulez-vous dire par là, sœur Marie ? Elle eût un petit rire gênée avant de m’avouer : - Pierre avait un sexe beaucoup plus petit que le vôtre. Et je ne parle pas de vos bourses !!! Je n’en reviens-pas ! Je suis choqué par ces paroles qui sortent de la si belle bouche de l’aspirante moniale. - J’ai honte de vous mettre dans l’embarras, ma sœur. - Vous n’y pouvez rien, s’exclama-t-elle rieuse. Dieu vous a conçu comme cela, il doit avoir ses raisons. Cette partie sera plus longue à ...
    ... nettoyer que celle de Pierre, c’est tout ! Il arriva fatalement un moment ou il ne resta plus que cet endroit à traiter. Elle déposa l’éponge dont elle se servait et se savonna copieusement les mains. - A cet endroit là, c’est si délicat et tellement sensible que je vais vous laver à main nue ! Ses doigts agiles couraient sur ma peau, s’insinuant partout, empaumant mes bourses pour laver mon entrecuisse puis frottant délicatement mes sacs gonflés de laitance. Aucune parcelle ne lui échappait. Elle saisit ma verge et descendit sa main, décalottant mon gland, s’appliquant à bien frotter les replis du prépuce. Je ne pus réfréner les bas instincts du mâle excité de cette façon si particulière. Ma verge flasque prît de la consistance, doublant presque de volume et s’allongeât de plus en plus, devenant à chaque instant plus ferme. En un rien de temps, sœur Marie avait en main un mandrin fier et arrogant. Les sensations n’avaient rien à voir avec mes branlettes sous sa main experte et si douce. Mon pénis palpitait de joie entre ses doigts. Sœur Marie s’enivrait de l’audace de son acte, elle serrait les cuisses sentant sa chatte ruisseler de désir. Un peu penaud mais fier comme un paon, je voulu m’excuser. - Je suis confus de réagir ainsi, mais vos mains sont si douces. - Ne vous inquiétez-pas. C’est une réaction rien de plus naturelle et en plus ça me facilite la tâche. Un homme normalement constitué doit réagir ainsi quand une femme s’occupe de son sexe, mais là, vous bandez comme un ...