1. Adélaïde et Paolo


    Datte: 01/07/2021, Catégories: fh, fhh, fhhh, hbi, jeunes, copains, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme théatre, humour,

    ... rapproche d’Adélaïde, et l’embrasse tendrement. PAOLO — Bon, vas-y, appelle-les, moi je vais inviter mon copain Anselme, et puis je vais voir ce que j’ai à manger pour tout ce petit monde. Paolo sort. Adélaïde se lève pour aller prendre son téléphone, puis revient s’asseoir et compose un numéro. ADÉLAÏDE — Ah, zut, c’est son répondeur ! … Oui, Lucinda, c’est Adélaïde, écoute, je suis chez… euh… chez Paolo, tu le connais pas, mais on mange là ce soir, avec William, et un ami de Paolo. Tu es invitée, alors tu me rappelles sur mon portable et on voit ça ensemble ? À plus. Elle raccroche. Paolo entre. ADÉLAÏDE — J’ai eu que le répondeur de Lucinda, mais à mon avis elle viendra. Je vais appeler William. Elle compose à nouveau un numéro. Paolo s’approche du canapé et s’assoit à côté d’elle. PAOLO — Ah oui ? Tu appelles William ? ADÉLAÏDE — Allô, William ? PAOLO — Dis-lui que tu es amoureuse d’un mec génial et qu’il ne vienne pas avec l’idée d’être ton chevalier servant… ADÉLAÏDE, à Paolo — Oh, chut ! (Au téléphone) : Oui, c’est Adélaïde. PAOLO — Chut ? Comment ça, chut ? ADÉLAÏDE — Ça va ? Je te dérange pas ? PAOLO, à part — Elle m’ignore ! J’hallucine. Elle m’ignore pour se consacrer tout entier à son William ! Paolo caresse doucement la poitrine d’Adélaïde et passe une main entre ses cuisses. ADÉLAÏDE — Oui, oui, ça va. Alors qu’est-ce que tu fais ? Paolo accentue ses caresses. Adélaïde gémit brièvement mais parvient à poursuivre sa discussion sans broncher. ADÉLAÏDE — Okay. … ...
    ... Moi ? Euh… ben… là, je suis en train de me faire caresser…. … Mais, non, c’est pas pour ça que je t’appelle. PAOLO — Si, si, dis-lui que c’est pour ça ! ADÉLAÏDE — Non, c’est pour t’inviter à manger ce soir. Paolo reprend ses caresses de plus belle. ADÉLAÏDE — Hmmm ! … Non, pardon. … Oui, ce soir. … Là, c’est tout près de chez toi, vers la résidence du parc. … Ben non, je te dis pas chez qui, c’est une surprise. Paolo accélère ses mouvements. ADÉLAÏDE — T’avais quelque chose de prévu, ce soir ? … Bon, eh ben impeccable ! … Tu vois la résidence du parc ? Eh ben, c’est là, au numéro 4. … Oui, quand tu veux. PAOLO — Laisse-nous cinq minutes, quand même ! ADÉLAÏDE — Okay ? … Oui. … Non, rien que toi. PAOLO, abandonnant Adélaïde — Comment ça, rien que lui ? ADÉLAÏDE — Okay, à tout de suite. Elle raccroche. PAOLO — Tu aurais dû ajouter "mon amour " en lui parlant, et ç’aurait été parfait ! ADÉLAÏDE — Oh… Tu exagères ! Arrête d’être aussi jaloux ! PAOLO — Oui, c’est ça ! Il se lève et sort. Adélaïde soupire et se caresse un instant machinalement. Acte I, scène 4 Dimanche 18, 20h30 La rue du parc, en bas de l’appartement de Paolo (William) William est à l’entrée de l’immeuble, son téléphone portable à l’oreille, et observe avec agacement un pavé numérique qui commande l’ouverture de la porte de la résidence. WILLIAM — Putain, et en plus son portable est éteint ! Mais quelle conne ! Il essaie de tapoter différentes combinaisons au hasard sur le pavé numérique, puis appuie également ...
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