1. Adélaïde et Paolo


    Datte: 01/07/2021, Catégories: fh, fhh, fhhh, hbi, jeunes, copains, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme théatre, humour,

    ... Ben quoi alors ? LUCINDA — Je sais pas, des trucs. Et puis ça te regarde pas. WILLIAM — Elle t’a dit: "il baise bien" ou quelque chose comme ça ? LUCINDA, amusée — Ah, non, ça non plus elle me l’a pas dit. WILLIAM, suppliant — Eh ben, dis-moi ! Un silence. LUCINDA — Bah, écoute, en fait, elle m’a plutôt dit que t’étais pas très chaud, et plutôt maladroit, que tu manquais d’expérience, quoi. WILLIAM — Hein ?!? La salope ! Il s’agenouille précipitamment aux pieds de Lucinda et, à toute vitesse, relève sa jupe et écarte sa culotte. WILLIAM — Tiens, tu pourras témoigner qu’elle s’est trompée. Il caresse et lèche Lucinda de toutes ses forces. Celle-ci arbore un grand sourire, et gémit doucement. Mais William s’arrête soudain et contemple sa partenaire d’un air dubitatif. WILLIAM — Euh, dis donc, tu te serais pas foutue de moi, là, par hasard ? LUCINDA, faussement étonnée — Moi ? Elle éclate de rire devant l’air déconfit de William, qui tient toujours la jupe relevée. WILLIAM — Vous êtes vraiment toutes des salopes ! Il hésite, puis finit par rigoler aussi. WILLIAM, souriant — Bon, allez, tiens, pour ta peine… Il enfouit sa tête entre les cuisses de la jeune femme et la lèche quelques minutes avec avidité. Elle gémit en savourant ses caresses. LUCINDA — Hmmm ! Aaaah ! En fait tu t’y prends vraiment très bien ! Anselme entre, se dirigeant vers l’entrée de l’immeuble ; mais il n’ose pas passer devant le couple et reste légèrement en retrait à les observer. LUCINDA — Oh, oui, ouiii ...
    ... ! Continue ! Elle se crispe soudain en gémissant plus fort et jouit dans une série de spasmes en serrant contre elle la tête de William. Celui-ci finit par se relever et s’essuie lourdement la bouche d’un revers de manche. Anselme s’avance alors vers la porte de l’immeuble. WILLIAM, gêné, l’ayant remarqué — Euh… Bonsoir. ANSELME — Bonsoir. Il compose un code sur le pavé numérique, la porte s’ouvre. LUCINDA, à William — Tiens, qui c’est qu’avait raison ? Tu veux deux minutes d’intimité, tu les as pas, quelqu’un se radine…Puis à Anselme — Bonsoir. WILLIAM — Attendez, s’il vous plaît, vous pourriez nous laisser la porte ouverte ? ANSELME — Oui, tenez, entrez. LUCINDA — Merci, on arrive. WILLIAM — Merci. On va manger chez des amis, au numéro 4, mais on n’avait pas le code. ANSELME — Au numéro 4 ? C’est là que je vais aussi, suivez-moi.À William, en désignant d’un geste le bas de son visage — Vous avez encore quelques traces, là… William s’essuie encore d’un geste distrait. LUCINDA, à Anselme — Vous y allez aussi ? Quelle coïncidence ! WILLIAM, à Lucinda — Ça veut dire quoi, ça ? Que si t’avais su, tu te serais retenue, c’est ça ? ANSELME — Vous devez être les amis d’Adélaïde, sans doute ? LUCINDA — Oui, c’est ça, c’est nous. Je m’appelle Lucinda, et ça c’est William. WILLIAM, à voix basse — Ça ??? Non, mais j’hallucine ! Eh, je te signale que je viens de te lécher, Lucinda ! ANSELME — Enchantée, je m’appelle Anselme, je suis un ami de Paolo. LUCINDA, battant des cils — Anselme… ...
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