1. I might be wrong


    Datte: 01/07/2021, Catégories: fh, hplusag, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... pas de maillot, ajouta-t-il distinctement d’une voix envoûtante. Je restai figée. Des pensées coquines – voire pornographiques – commençaient à flotter dans mon esprit, et faisaient des figures libres. J’avais besoin de me poser, après avoir entendu ça. Bon, j’étais déjà assise, heureusement. Bien sûr, voyons. Le brave père de famille s’était tapé une petite jeunette la nuit dernière. La petite jeunette avait hurlé de plaisir. Donc, logique toute masculine, pourquoi ne pas remettre ça ? À vrai dire, je commençais à mouiller abondamment dans la petite culotte de May. Je l’enlevai prestement, honteuse à l’idée de saliver d’envie dans la culotte de ma meilleure amie, en pensant à la grosse bi… de son père. Mais que m’arrivait-il ? La vague de chaleur avait-elle atteint mon vagin ?! Il était impensable que je remette le couvert avec Jean-Philippe. Absolument inconcevable. D’ailleurs, j’allais lui dire ma façon de penser, à celui-là. Pas de maillot, hein ? Ben voyons… Je me pointai au bord de la piscine toute pimpante dans un bikini fuchsia. Oubliée, la gueule de bois. Jean-Phi était déjà en train de faire des longueurs. Pendant quelques instants, je restai là à admirer son crawl puissant, rêvant à ses solides épaules bronzées, son ventre plat, sans un gramme de cette graisse qu’on pensait pourtant inhérente à la nature de l’homme bientôt quinqua… Soupir. Mes résolutions fondaient comme neige au soleil. Je le rejoignis enfin dans le bassin, et commençai à pratiquer ma brasse ...
    ... coulée. Mais il m’aperçut et s’approcha très près de moi. Je m’immobilisai, un peu haletante, et le regardai jusqu’au fond des yeux. — Il faut qu’on parle, dit-il de sa voix caressante. Je ne pus que croasser un « oui » indistinct. Il saisit mon bras, avec douceur, et m’entraîna jusqu’au bord de la piscine. Je m’adossai à celui-ci, tandis qu’il me faisait face, et m’encerclait de ses bras pour se retenir au bord, derrière moi. Ses yeux bruns se mirent à briller. — C’était génial, cette nuit, avoua-t-il. Ça fait très longtemps que je n’avais pas connu de telles sensations… Et toi, tu as aimé ? Je déglutis frénétiquement. En attente d’une réponse de ma part, il s’approcha, tout doucement, comme un prédateur qui ne veut pas effaroucher sa proie. Mais je n’étais plus en train d’être chassée. J’étais prise depuis longtemps. Pendue à l’hameçon, comme on dit… Je me raclai la gorge, embarrassée. — Jean-Philippe, nous n’aurions jamais dû faire ça…, dis-je timidement.— Oui, je sais. Pour la première fois, il semblait contrit. Sa voix avait ce ton sincère du mec qui regrette profondément d’avoir cédé à la tentation. — Je sais, répéta-t-il, avec un petit sourire amer. Mais j’en avais envie depuis si longtemps… tu ne peux pas t’imaginer. Ma femme me délaisse pour ses amants depuis des lustres. Jusqu’ici, je n’avais jamais eu le cœur à la tromper, à mon tour. Pourtant, elle m’a conseillé de trouver quelqu’un depuis pas mal de temps. Mais je l’aime encore… En parlant, il s’était collé contre ...
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