"Pas touche !" (1)
Datte: 02/07/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
médical,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
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h+medical,
Je viens de fêter mes quatre-vingts ans. Je peux dire que je suis un homme heureux. Vif d’esprit et encore fringant, j’ai vécu avec une acceptation relative la diminution de certaines de mes facultés à la suite d’un léger accident vasculaire cérébral. Le choc passé, le personnel hospitalier m’a vite rassuré sur mes compétences à « remonter la pente ». Mais plus encore, c’est la vision d’une petite infirmière aux seins menus qui, tendus sous sa blouse, laissaient deviner leurs contours, qui calma mes inquiétudes. Je bandais comme un adolescent, et quand je vis le dessin de son joli cul, je n’eus qu’un désir, plonger ma virilité entre ses fesses pour y forcer sa rosette… Je me sentais revivre ! C’est une réaction infantile et jubilatoire qui s’empara de moi dès lors qu’on me fit savoir que je ne pourrais, dans un premier temps, me passer d’une aide à domicile. Un de mes fantasmes les plus marquants était en train de se réaliser, me faire assister par une jeune femme dont je serais en partie dépendant… C’est quelques jours après, en retournant chez moi, que j’ai été mis en relation avec celle qui devait m’assister. Elle s’appelait Sophie et, quoique très différente de l’image qui trottait dans ma tête – cette petite infirmière de l’hôpital –, je me suis tout de suite trouvé sous le charme. C’était une jeune fille qui avait tout juste vingt ans mais qui, par sa prestance et son autorité naturelle, en paraissait davantage. Elle était grande et, lorsque péniblement je parvenais ...
... à me tenir droit, j’arrivais tout juste à la dépasser en taille. Elle était souvent habillée en tailleur, ce qui la rendait très femme et mettait en valeur le galbe de son corps tout à fait généreux… et puis elle revêtait une blouse blanche très légère qu’elle laissait entrouverte, après avoir ôté sa veste… Elle avait une belle poitrine, assez arrogante sans être trop imposante, dont je devinais les contours sous un corsage trop sage… Sa taille était plutôt fine et la cambrure de ses reins accentuée par le fait qu’elle portait toujours des chaussures à talons faisant saillir nonchalamment, à la fois ce buste si engageant dont je viens de parler, mais aussi un fessier proportionné au reste, c’est-à-dire, lui aussi, assez remarquable par son volume et sa fermeté. En bref, c’était une superbe jeune femme à la silhouette délicieusement « dessinée » qui, sans être ronde, avait de magnifiques rondeurs… Ce qui était remarquable également et m’a charmé chez elle dès que je l’ai rencontrée, c’était ce délicat parfum, très frais que seule une fille jeune peut porter sans ridicule, à la saveur à la fois acide et sucrée, aux nuances fruitées, excitantes et apaisantes. En fait, le trouble qu’elle provoquait en moi était bien de cet ordre. L’excitation de sentir si près de moi ce corps voluptueux et si savoureux, à portée de main… et en même temps l’apaisement d’avoir cette présence qui curieusement, malgré son jeune âge, m’était rassurante, presque maternelle. Bien qu’au début je l’ai ...