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"Pas touche !" (1)
Datte: 02/07/2021, Catégories: fh, hagé, médical, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, nopéné, hplusag, h+medical,
... trouvée peu causante, j’aimais beaucoup entendre le son de sa voix. Cette voix douce et assurée qui ne semblait parler que du strict nécessaire. C’était à moi de faire l’effort de relancer la conversation, car sa discrétion semblait lui interdire de me poser des questions personnelles. Sa voix était chaude et calme et s’accordait à l’attention toute professionnelle qu’elle mettait à sa fonction. Elle me gratifiait souvent de son petit regard intelligent et d’un charmant sourire un brin espiègle tout en laissant paraître dans son attitude une certaine timidité. Ainsi, elle évitait tout contact physique trop appuyé, sans doute pour que ne s’instaure entre nous aucune ambigüité. Elle était délicieusement attirante et elle avait pu remarquer que j’avais gardé toute ma vigueur, au moins pour ce qui est de la sexualité… quand elle m’avait « cueilli » quelquefois au réveil, au sortir de la sieste. Je n’étais pas parvenu, à plusieurs reprises, à dissimuler ma verge bandée aussi vigoureuse que celle d’un jeune homme. Et puis il y eut ce matin, d’une belle journée d’été. Comme à son habitude elle préparait mes médicaments à côté de mon lit alors que je venais tout juste de me réveiller et au moment où j’ouvrais les yeux. Elle me tournait le dos. Ce moment était pour moi particulièrement doux car, aux senteurs délicieuses de son parfum sucré, se mêlait une odeur tout aussi exquise qu’au début je ne sus définir. Et alors que j’observais, ou plutôt je devinais, les formes si gracieuses ...
... du postérieur de mon infirmière, j’essayais de deviner l’origine de cette odeur féminine qui embaumait mes narines. Elle était tout près de moi et légèrement penchée en avant à tel point que, si à cet instant elle avait perdu l’équilibre, elle se serait le plus simplement du monde assise sur mon visage. Je n’attendais que cet instant… J’étais enivré par son odeur que j’imaginais être celle de la sueur qui devait perler entre ses cuisses… ou bien celle de quelques gouttes d’urine qui auraient survécu à un essuyage trop désinvolte… ou encore issue de quelques traces de cyprine vestige d’une précédente jouissance solitaire… C’était absurde, mais je sentis une envie irrépressible et j’approchai ma main tout doucement pour caresser l’une de ses belles fesses si joliment ferme et engageante. C’était comme si j’étais encore dans un rêve et que j’imaginais pouvoir caresser son cul si doucement qu’elle ne s’en rendrait compte qu’à peine… Bientôt ma main fut plaquée sur l’étoffe de sa blouse et j’eus le temps de masser légèrement son charmant postérieur et de sentir au bout de mes doigts l’exquise fermeté de sa chair. Elle s’écarta ou plutôt glissa sur le côté avec un calme étonnant et se tourna vers moi pour plonger son regard assuré dans le mien (qui devait l’être beaucoup moins). J’étais comme hébété à la fois par mon audace et par la réaction de ma jeune soignante qui, loin de perdre toute contenance, me dit d’une voix tout à fait posée : — Vous savez, j’ai l’habitude de ce type de ...