Ma petite Thaï
Datte: 02/07/2021,
Catégories:
fh,
asie,
prost,
amour,
odeurs,
Oral
pénétratio,
policier,
... sur le lit, pendue à mon cou. Mes mains enserrant sa taille, nos lèvres passionnément soudées, nos langues se livraient une guerre sans merci pour envahir la bouche de l’autre. Je me laissai glisser jusqu’au sol et, ainsi, posai ma joue contre son bas-ventre. Elle me serrait contre elle, comme une mère protégeant son enfant. Ses senteurs intimes allumèrent en moi le brasier du désir et elle le sentit tout de suite. Je léchai son ventre, embrassai sa peau, mordillai ses flancs comme un jeune chien. Je la fis basculer sur le lit et posai ma bouche sur sa toison. Je continuai à jouer de mes dents sur l’intérieur de ses cuisses, je passai la pointe de ma langue dans le sillon de l’aine pour, enfin, après quelques minutes de ce traitement qui la rendait folle de désir, embrasser son minou à pleine bouche. J’étanchai ma soif d’elle en dégustant son nectar de fille, véritable suc de son plaisir, authentique eau de vie d’amour. Mes oreilles se régalaient de la mélopée envoûtante de ses soupirs et gémissements, je me laissai bercer par le roulis de son bassin qui tanguait au rythme de la houle enfiévrée de sa jouissance. À peine remise de son orgasme, ma belle Thaïlandaise m’accueillit tout au fond de son corps. Je donnai volontairement une grande ampleur à mes coups de reins, pour le plaisir d’entendre le clapotis de son coquillage. Son visage était face au mien et je ne me lassai pas d’admirer la finesse de ses traits. Elle ferma les yeux de bonheur quand j’explosai au fond de son ...
... ventre brûlant. Nous nous restaurâmes avec la collation qu’on nous avait accordée. — Quand nous serons en France, tu me feras un enfant ? me demanda Li-Tao.— Oui, autant que tu voudras ! lui dis-je en passant une main sur sa joue. Nous nous couchâmes et, malgré un désir nouveau, nous sombrâmes dans un profond sommeil. Quelques étages plus bas, au sous-sol, quelqu’un ôta ses écouteurs et dit à son voisin : — Tu peux y aller, ils dorment comme des marmottes. Le grand gaillard se déplia, s’étira en bâillant et se dirigea vers l’ascenseur. Au dernier étage, la porte s’ouvrit sur une sentinelle qui, après un bref échange de regards complices, s’en alla sans bruit par les escaliers. Le grand maigre sortit de sa poche un petit pistolet Smith & Wesson calibre 6/35 et y vissa un silencieux. Il gravit à pas de loup les quelques marches qui menaient aux anciennes chambres des domestiques et, avec précaution, poussa la porte qui portait un rond tracé à la craie. Il se trouva face à Li-Tao et moi, nus sur le lit, amoureusement enlacés. Du coin de l’œils il inspecta le plateau où il ne restait que quelques miettes des gâteaux secs. Les gâteaux, j’aurais dû m’en méfier ! La première bastos fut pour moi, en plein front. Pour Li-Tao, il mit un peu plus de temps, il la contempla longuement avant de presser la gâchette. Je vous l’avais dit, c’est dangereux de détenir de vilains secrets d’Etat… Maintenant que je suis mort, n’escomptez pas que je vous les dévoile ! Ces braves politiciens seraient ...