1. Une histoire folle (1)


    Datte: 02/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... — Non. — Prof ? — Non plus. — C’est un vieux ? Un jeune ? Un chien ? se moqua-t-elle sans méchanceté. — Stop ! lui ordonnai-je. Écoute, je crois qu’en fait je ne me sens pas très bien ; est-ce que ça t’ennuie si on repousse notre sortie à samedi prochain ? Vanessa prit un petit air déçu. — Non, pas du tout ; mais tu ne veux pas me dire ce que tu as ? Ça n’a vraiment pas l’air d’aller, tout à coup. — Je... je ne sais même pas ce que j’ai. C’est juste que je ne me sens pas bien du tout. Excuse-moi. Je quittai mon amie à contre-cœur et rentrai chez moi, morte de honte et d’excitation en la laissant dans la plus totale incompréhension. Une fois rentrée, je fonçai dans ma chambre pour surfer sur Internet et me renseigner sur ce que je ressentais. Le soir, quand mon père est rentré de son travail, je suis allée l’accueillir avec un petit bisou sur la joue. — Bonsoir papa. — Bonsoir ma puce. Tu as passé une bonne journée avec Vanessa ? Comment va-t-elle ? — Bien, et ma journée a été plutot banale. (Menteuse !) Et toi ? — Journée tranquille. Tu voudrais manger quoi ce soir ? « C’est lui que je voudrais manger... », me dis-je dans ma tête. — Je n’ai pas très faim, à vrai dire ; je me sens un peu patraque. — Encore un excès de vos pâtisseries favorites ? — Non, mais je crois que je vais aller me coucher. Je suis désolée de te gacher ta soirée. — Mails il est à peine 20 heures ! Tu es malade ? Tu veux que j’appelle un médecin ? — On verra demain si je ne me sens pas mieux. Bonne nuit ...
    ... papa. — Ben... euh, bonne nuit ma puce. Je lui fis une bise et fonçai dans ma chambre. J’enfilais un shorty et un débardeur pour la nuit quand mon portable vibra, signe de l’arrivée d’un SMS. C’etait Vanessa qui s’inquiétait de mon état. Je lui repondis que je devais juste me reposer que je me sentirais mieux demain, puis je me mis à pianoter sur mon ordi. Plus tard dans la soirée – il devait être pas loin de minuit – je n’arrivais toujours pas à dormir. Mon père était dans ma tête, et je n’arrivais pas à me calmer. Il fallait que je fasse quelque chose, mais quoi ? Je voulais me caresser comme je le faisais depuis quelque temps, mais ça me frustrait plus que ça ne m’apaisait. Je décidai de prendre le taureau par les cornes et d’aller le voir. Mon ventre me faisait mal, autant à cause de la faim que du désir ; il fallait que je lui parle. Après tout, il me ramènerait à la raison avec une bonne gifle, et tout rentrera dans l’ordre. Je sortis de ma chambre et me dirigeai à pas de loup devant la porte de sa chambre. Je décidai de frapper. — Oui ? — Puis-je entrer, papa ? — Entre, ma puce, m’invita-t-il. J’obéis et fermai la porte derrière moi. Je m’avançai vers lui, qui était dans son lit, et moi toute rouge. — Que se passe-t-il ? — J’ai à te parler d’une chose assez importante pour moi. — Allez, raconte-moi tout, je t’écoute. Je tentai de me calmer, mais me retrouver seule avec lui suffisait à me mettre dans un état pas possible... — Papa, c’est quelque chose de très délicat, en ...