Une histoire folle (1) - Histoires de Sexe

Une histoire folle (1)

... fait. — De quoi il s’agit ? — De toi. — Pardon ? — Je peux m’asseoir, s’il te plaît ? Il s’assit. Je le rejoignis à côté de lui et me decidai à prendre mon courage à deux mains. — Papa, tu vas me traiter de folle, peut-être me renier ou me gifler, mais... Mon ventre me faisait un mal de chien, et mon shorty etait humide. — Depuis peu, je suis amoureuse d’un homme. Et j’ai très envie de lui... Et le problème, c’est qu’il est plus vieux... Que dis-je, bien plus vieux que moi. — Qui est-ce ? J’avalai péniblement ma salive. C’était le moment ou jamais. Je pris une profonde inspiration. — Toi ! lsblpper Mon père écarquilla les yeux. — Mais je suis ton père ! Comment peux-tu me dire une chose pareille ? — Papa, c’est déjà assez dur pour moi... Je t’en supplie ! Je ne savais pas comment te le dire, il fallait que ça sorte, j’en peux plus de garder ça pour moi ! Tu ne sais même pas à quel point ça me fait mal, ce que je ressens, mais j’y peux rien. — Viens ici, me dit-il d’un ton assez doux. J’obéis, et il me prit tendrement dans ses bras. — Ma puce, je suis flatté, mais on ...

... n’a pas le droit : tu es ma fille, et je suis ton père. Moi aussi j’ai eu des pensées impures vis à vis de toi, mais j’ai dû les chasser. Je regardai mon père dans les yeux, avec une lueur douce. — Je sais, papa, je m’en suis rendue compte et je voudrais tant que... Enfin, toi et moi, même si ça doit rester secret. Même si on ne doit le faire qu’une seule et unique fois... Je n’aurais jamais cru dire ces mots-là, et surtout pas à lui. Mais à ce moment, son regard a changé, et il me caressa la joue. Nous sommes restés un moment à nous regarder. — Tu m’en veux ? lui demandai-je d’une voix tremblante. Il ne répondait pas, mais petit à petit, sa bouche se rapprochait de la mienne ; mon cœur battait à tout rompre. Nos lèvres se touchèrent, et nous échangeâmes alors un baiser qui me fit totalement fondre de bonheur. À la fin de ce baiser, qui pour moi a duré une délicieuse éternité, mon père prit la parole. Je réalisais à peine ce qui venait de se produire. — Chérie, si on continue, tu sais ce qu’il se passera ? — Je m’en fiche ! Je t’aime, et je ne veux que toi ! Une suite ?