Divagations sur l'oreiller
Datte: 02/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
frousses,
grossexe,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
jeu,
aventure,
fantastiqu,
merveilleu,
... rappelle à notre bon souvenir en la faisant se ré-empaler sur votre queue. Amusant et jouissif pour les deux partenaires, que demander de plus ? Eh bien, augmenter la cadence du trombonage, par exemple… Vlan, et vlan, et vlan… Et si la pesanteur invite Mylène à redescendre, son plaisir à elle ne cesse de monter ! Les légères plaintes du départ sont en train de se muer de plus en plus en de véritables cris, jusqu’à ce que l’irrémédiable se produise : que je le veuille ou non, que je sois dans monde parallèle ou pas, le point de non-retour n’est pas loin… Est-ce précisément le fait de sentir mon dard enfler encore un peu qui déclenche l’orgasme de ma dulcinée ? Je n’en sais rien, mais la forêt tout entière semble désormais silencieuse à l’instant où résonne le hurlement de louve blessée de ma partenaire, tandis que je me répands en elle en un invraisemblable torrent de lave. Trou noir. ---oooOooo--- Il est extrêmement rare que nous fassions deux expositions deux dimanches de suite, ne serait-ce que parce les épouses n’apprécient pas toujours de se retrouver avec de vieux adolescents qui ne parlent que de mécanique et de chromes. Mais là, ce n’est pas pareil : c’est la brocante du patelin, certains vont en profiter pour essayer de refourguer les sièges d’une Dauphine 1959 qui les encombre depuis des lustres ou les deux caisses de pièces d’Aronde qui prend la poussière depuis des années. Bref, nous sommes de nouveau à l’ombre des platanes. — Dis, Manu, c’est normal, ces rayures, ...
... là, sur ton capot ? Des rayures ? Où est-ce qu’il a vu des rayures, cet ahuri d’Ernest ? Je me lève de mon transat où je suis une fois en train de comater pour venir constater l’éventuelle étendue des dégâts et là, mon sourire se fige. Non, ce n’est pas la succession de petites griffures parallèles qui m’inquiète – un coup de polish et l’on n’en parlera plus –, mais le pourquoi du comment elles se sont retrouvées ici. La seule explication qui me vient à l’esprit est qu’elles aient été provoquées par les attaches des jarretelles de Mylène, d’autant que je me souviens bien avoir entendu ce léger crissement au beau milieu de notre fougueux assaut… Sauf que, jusqu’à preuve du contraire, tout cela n’était pas réel ! Je rêvais, bordel de merde ! J’en suis à me poser des questions par dizaines lorsqu’une voix m’interpelle et là encore, je le reconnais instantanément : Malika ! Qu’est-ce qu’elle vient encore me casser les noix, miss Olida, surtout à cet instant précis ? Elle vient encore me raconter ses misères ? Je me retourne et là, ma mâchoire n’est pas loin de se décrocher. Oui, c’est bel et bien Malika, une Malika de presque soixante ans, avec pas mal de cheveux blancs et quelques rides, mais elle n’a rien à voir avec l’espèce d’horreur sur pattes rencontrée la semaine dernière. De plus, elle est accompagnée d’un homme du même âge, lui aussi grisonnant, mais impeccable dans son costume gris. Il me tend sa main à serrer. — Je suis Rachid, le mari de Malika… Elle m’a souvent parlé ...