Divagations sur l'oreiller
Datte: 02/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
frousses,
grossexe,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
jeu,
aventure,
fantastiqu,
merveilleu,
... que les anglaises de ces années-là étaient en fait construites autour de leurs fuites ou n’étaient conçues que pour être en panne, n’était finalement pas très loin de la réalité… C’est qu’elle m’en a fait baver,my rosbeef charrette ! Mais tout ça, par bonheur, c’est du passé. Aujourd’hui, ma représentante de sa très gracieuse majesté démarre le matin, accélère, freine, tient presque la route, a un chauffage qui fonctionne et des phares qui éclairent et, encore plus incroyable – et alors là, accrochez-vous aux branches de votre fauteuil, les spécialistes vous expliqueront à quel point ce détail est absolument exceptionnellissime – parvient même à ne plus marquer son territoire à chaque arrêt… ou à ne plus répandre ses fluides un peu partout, si vous préférez. Tout cela ne s’est pas fait sans mal… Heureusement que j’ai intégré un club dont les membres ont su me donner toutes les combines nécessaires à la résurrection de ce véritable hymne à l’absurdité mécanique ! Et c’est ainsi que je me retrouve aujourd’hui allongé tranquillement sur un transat à l’ombre des platanes. Ce début d’après-midi fleure bon la fin du printemps où, selon le dicton, même les tas de pavés sont en fleur. Ma belle somnole, elle aussi, au milieu de quelques autres merveilles du même métal – c’est le cas de le dire – puisque nous sommes tout simplement à une concentration de voitures anciennes comme nous en avonsgrosso modo tous les quinze jours, chaque club invitant les autres à tour de rôle dans des ...
... lieux qui changent régulièrement. Soudain, l’éclat d’une voix me sort de ma torpeur… Il me faut plusieurs secondes pour me rendre à l’évidence, elle ne peut appartenir qu’à une seule personne. — Manu ! Hé, Manu ! Tu me reconnais ? Oh que oui que je te reconnais ! Je ne risque d’ailleurs pas de t’oublier un jour, ma chère Malika, quand bien même tout cela remonterait quasiment à quarante ans ! Malika était de très loin la plus jolie fille de la classe, peut-être même de tout le bahut. Cette ravissante beurette à la peau délicieusement mate, aux longs cheveux crépus d’un noir de jais et à la taille de guêpe faisait tourner toutes les têtes, à commencer par la mienne. Quelle que soit la longueur de sa jupe, on avait toujours l’impression qu’elle était plus courte que celle des autres filles et, lorsqu’elle portait un jean, elle parvenait toujours à le porter si serré que la seule question qui nous venait à l’esprit était de savoir ce qu’elle portait en dessous, car jamais, au grand jamais, la moindre couture n’était visible ! Peut-être le portait-elle à cru, d’ailleurs… sauf qu’en réalité, je n’en ai jamais rien su. Aller la chercher chez elle ? Il n’en était pas question. L’embrasser ou simplement lui prendre la main dans les couloirs du bastringue ? Pas question non plus. Par contre, lorsque je la raccompagnais chez elle, nous faisions invariablement un petit détour vers les caves de son bâtiment et là, nous nous embrassions à n’en plus finir, toujours loin des regards… Et ensuite ...