1. Divagations sur l'oreiller


    Datte: 02/07/2021, Catégories: fh, hplusag, frousses, grossexe, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, jeu, aventure, fantastiqu, merveilleu,

    ... trouvaient. Pour ce qui est deux filles, je ne m’inquiète pas tellement, je ne les avais jamais vues auparavant et elles n’onta priori rien à voir avec moi. Par contre, pour Fabien, la situation est différente. Le temps d’une douche rapide et d’un café avalé sur un coin de table, je suis à l’hôpital. Par chance, je croise l’infirmière qui s’occupe régulièrement de lui. Elle m’invite à entrer dans son bureau. — Dites-moi, quand on parle d’inconscience ou de coma, ne dit-on pas qu’il s’agit d’un sommeil sans rêve ?— Absolument, répond-elle, intriguée.— Oui, mais c’est médicalement prouvé ou ce n’est juste un proverbe bidon ?— Non, c’est la réalité. Mais pourquoi cette question ?— Parce que… euh… Comment dire… Là, je tape dans le dur, parce que si je lui annonce froidement que j’étais dans son rêve cette nuit, c’est moi qui vais finir à l’hosto, au rayon « détraqués du ciboulot ». — Ça vous gêne que nous allions le voir ? Je n’en aurais pas pour longtemps. C’est loin d’être la première fois que je vois mon pote sur son lit d’hôpital, mais je ne parviens pas à m’y habituer. Branché de partout, des sondes dans tous les endroits possibles, relié à une palanquée de machines toutes reliées à une tétrachiée d’écrans, il n’en demeure pas moins inerte. Je m’approche en lui prenant la main. — Fabien ! Je sais que tu m’entends…— J’ai peur que vous ne perdiez votre temps, intervient l’infirmière. De fait et comme c’était assez prévisible, le miracle de se produit pas. J’insiste. — Merde, ...
    ... Fabien ! Les gonzesses, cette nuit ! Si tu rêves, c’est que tu m’entends, merde ! La nénette me regarde alors avec des yeux ronds, mais ce n’est rien à côté de sa tronche lorsqu’une machine se met soudain à sonner. — Oh merde… Surtout, n’arrêtez pas de lui parler ! Je reviens ! Alors bien, sûr, je continue de baratiner, et j’en rajoute des tonnes, dans les détails de ce qui s’est passé dans son rêve, comment elles étaient balancées, leurs tenues et tout le teste. À un moment, mais peut-être est-ce une coïncidence, il me semble même voir ses paupières bouger. La porte s’ouvre et c’est le professeur lui-même, probablement accompagné de quelques élèves-médecins, qui entrent dans la pièce. — Regardez, docteur… L’encéphalogramme…— Oh putain… euh, pardonnez-moi… Veuillez sortir, s’il vous plaît, mais surtout, restez à la porte… Je peux avoir besoin de vous. Dix minutes plus tard, le même professeur réapparaît. Je ne sais pas ce qui s’est passé à l’intérieur, mais, visiblement, il n’en revient pas. — Mais bon sang, qu’est-ce que vous lui avez dit ?— Euh… C’est compliqué, docteur… Mais vous pourriez peut-être me dire ce qui se passe ?— Il semblerait, je dis bien semblerait, rien n’est sûr, que votre ami soit en train de reprendre conscience. Vu son état, je n’ai jamais vu ça. J’exulte. — Vous êtes certain ?— Encore une fois, je m’en voudrais de vous donner de faux espoirs, mais quelque chose est en train de se passer, et ça va plutôt dans le bon sens. Mais je me répète, il est encore ...
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