Découverte
Datte: 03/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
médical,
vengeance,
contrainte,
facial,
Oral
69,
pénétratio,
fantastiqu,
... la main sur la poignée. Elle se ravise, va pour poursuivre son chemin, mais reste immobile. Subitement, elle passe les mains sous sa blouse et retire son slip qu’elle enfonce dans sa poche et pénètre, décidée, dans la chambre. Pourtant elle ne se reconnaît pas dans cette femme résolue à se faire baiser coûte que coûte. Elle qui, moins de deux heures auparavant, aurait toisé Isabelle presque avec condescendance pour sa conduite, n’aspire présentement qu’à l’imiter. L’entrée de l’Infirmière ne réveille pas Bernard. Celui-ci n’a toujours pas trouvé le sommeil. Comme ses idées sont toujours embrouillées quant aux événements récents, pour tenter de se calmer, il a repris son livre sur lequel il essaye de fixer son attention avec difficulté. Les mots dansent devant ses yeux. Il est obligé de lire à plusieurs reprises la même phrase pour la comprendre. Béatrice s’arrête à côté su lit. Elle hésite le temps de prendre son souffle et se penche pour embrasser Bernard, tout en glissant la main sous le drap où elle constate avec plaisir que celui-ci est raide. Il voudrait la repousser, mais ne le peut, emporté par un puissant désir. Il répond au baiser. Il ne faut pas une minute pour que tous deux se retrouvent nus, elle allongée sur le dos et lui sur elle, la pénétrant sans plus amples préliminaires, ceux-ci manifestement inutiles, tant la donzelle mouille. Elle accueille l’introduction avec un quasi-soulagement, tant son désir est intense. Celui de Bernard, nonobstant ses exercices ...
... récents avec la collègue, ne l’est pas moins. Il ne songe point présentement à s’en étonner, tout à l’euphorie de la partie de baise qui commence et s’annonce torride. Il honore Béatrice autant qu’Isabelle et celle-ci apprécie autant que sa consœur. Trois heures plus tard, couverte de foutre, la chatte congestionnée, mais repue, la jeune femme se lève. Après un passage par la case toilette, elle doit aller chercher des draps, la literie étant de nouveau dévastée. Il l’aide à refaire son lit. Contrairement à Isabelle, Béatrice ne se sauve pas, oppressée par un sentiment de culpabilité. Elle ne regrette pas d’avoir trompé son copain, même si sa conduite, se jeter dans les bras d’un homme inconnu avec tant d’indécence n’est pas dans ses habitudes, surtout que l’objet de sa libido a la cinquantaine. C’était vraiment bon, très bon même et elle n’hésite pas à le dire à Bernard, qui lui retourne le compliment. Elle lui donne un ultime baiser avant de retourner vers son poste. Sa collègue Armelle l’y attend. Après s’être inquiétée de son absence prolongée, cette dernière est partie à sa recherche en faisant la tournée du service. Elle l’a découverte en pleine action dans la chambre de Bernard, mais aucun des deux protagonistes ne s’est aperçu que la porte s’entrebâillait. Ils étaient trop occupés. Après avoir un peu profité du spectacle, elle les avait laissés à leur chevauchée. Quand Béatrice arrive, elle décide de ne pas se priver du plaisir de la charrier un peu : — Tu prends ton ...