Découverte
Datte: 03/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
médical,
vengeance,
contrainte,
facial,
Oral
69,
pénétratio,
fantastiqu,
... métier à cœur !— Pourquoi ? répond l’interpellée, surprise.— Tu n’hésites pas à donner de ta personne pour remonter le moral de malades. Béatrice comprendillico que sa consœur est au courant de ce qui vient de se passer. Elle aurait préféré que cela ne se sache pas, surtout après la conversation de tout à l’heure où elle s’était montrée assez goguenarde vis-à-vis de celle qui l’avait précédée auprès de Bernard. Bon ! Elle ne va pas en faire un drame et préfère faire contre mauvaise fortune bon cœur : — Que veux-tu, il y a des cas où il faut savoir se dévouer. Cela peut être gratifiant.— Tu avais l’air de diablement apprécier la gratification.— J’ai même beaucoup apprécié.— Tu aurais peut-être dû te dévouer pour un autre malade. Isa avait déjà réconforté celui-là.— Visiblement, il en avait encore besoin.— Pourtant, comme tu l’as fait remarquer tout à l’heure, Isa y avait mis de l’ardeur. Cinq ou six heures de ce genre de thérapie pour un homme qui en début d’après-midi était encore inconscient, n’est-ce pas beaucoup ?— Pas du tout ! Il a apprécié ma prestation autant que celle d’Isa. Peut-être veux-tu aller vérifier que tout va bien, qu’il n’a besoin de rien.— Non, je te fais confiance. Il faut le laisser se reposer. Un traitement trop lourd est parfois nocif. Béatrice partie, Bernard, après avoir bu abondamment ne parvient pas à trouver le sommeil. Il essaie de mettre de l’ordre dans ses idées. Il se souvient qu’en rangeant le contenu d’une boîte d’archives censée contenir ...
... des coupures de presse de la fin du XIXe siècle, qui n’avait pas dû être ouverte depuis qu’elles avaient été constituées, il a la surprise de trouver parmi celles-ci un parchemin. Il le date du Xe siècle, peut-être du tout début du XIe. Les moines qui l’avaient écrit y fustigeaient la permanence de la fréquentation par la population et même des rassemblements sur l’emplacement d’un temple païen en ruine, datant de plusieurs siècles auparavant. Sa hiérarchie ne fit pas grand cas de sa découverte. Il faut dire que la nouvelle directrice, Anne Ladigo, une administrative, n’y connaît rien aux archives. C’est son deuxième poste depuis sa sortie de son école d’administration, le précédent étant dans un cabinet ministériel à l’agriculture. Elle a pour mission essentielle de faire des économies. Tout le reste, hors quelques expositions et acquisitions prestigieuses, elle le considère comme négligeable ou peu s’en faut. Seule, elle aurait été déjà plutôt insupportable, mais avec Valériane Pérégrin, sa secrétaire, elles formaient un duo infernal. Nul n’avait prévu à l’arrivée de ces deux séduisantes jeunes femmes qu’elles allaient empoisonner la vie de plus d’un. Pourtant, en étudiant le document, il trouve que les descriptions sont suffisamment précises pour qu’il soit possible de retrouver l’emplacement de ce sanctuaire. Par contre, rien dans le texte ne donnait de piste quant à quoi ou à qui il était dédié. Il contacte Patrick Général, un ami archéologue, qui se montre intéressé. ...