Une délicieuse approche
Datte: 03/07/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
caférestau,
toilettes,
douche,
intermast,
Oral
yeuxbandés,
... bouton, puis glissent sous le tissu. J’effleure enfin sa peau. À peine. Sa poitrine se gonfle, nos lèvres s’unissent. Ma main s’appuie alors sur sa chair délicate. Elle est douce, elle est chaude. Je glisse alors doucement sur son ventre, remonte vers son sein gauche, effleure la dentelle de son soutien-gorge. Nos lèvres se séparent. Nos yeux, alors, plongent dans le regard de l’autre, je referme ma main sur son sein en même temps que nos bouches s’unissent à nouveau, et nos lèvres dansent au rythme de mes doigts cajolant son mamelon. Je me colle à elle pour lui faire sentir la dureté de mon désir, nos ventres se plaquent l’un contre l’autre, s’appelant à une union plus étroite encore. Nous ne sommes plus que souffles, baisers, caresses. Mes doigts s’infiltrent sous la dentelle et dénudent son téton dressé. Je le caresse délicatement, puis le fais rouler précautionneusement entre mon pouce et mon index. Elle devient murmures et soupirs. Nos lèvres se soudent, s’embrassent, se mangent, se dévorent, se mordent, nos langues s’enlacent, dansent langoureusement puis virevoltent. Son sein est une masse moelleuse que je pétris alors que nos lèvres s’unissent à nouveau. Son téton est gros et dur. Je me détache de sa bouche vorace, glisse mon souffle et mes baisers le long de son cou, lèche sa poitrine et viens refermer mes lèvres sur sa framboise gorgée de sang et de désir. Fruit mûr et délicat, fruit dur que je griffe de mes dents, que je suce de mes lèvres, que je lèche de ma ...
... langue, que j’aspire de ma bouche. Mes doigts le pressent, le font rouler, l’étirent, alors que ma salive le brûle de mon désir. Mon autre main vole alors vers son deuxième sein, pour qu’il ne soit pas jaloux. Je l’empaume vigoureusement, le pétris et, rapidement, je le fais sortir de son bonnet pour le palper tout à loisir aussi. Mes doigts s’occupent alors de son téton. Je me redresse, fixe ma chère patiente, mes mains et mes doigts ne quittent pas leurs proies. Je masse, je pétris ces deux globes merveilleux, j’en apprécie la douceur, je profite de leur tendre fermeté. Elle a les yeux fermés, sa tête est rejetée en arrière. Elle s’offre, s’abandonne. Je souris et reviens téter ses pointes dures. Je les lèche, les aspire, les titille du bout de ma langue, en alternance, tantôt l’un, tantôt l’autre, calmant ma voracité lorsque je sens son plaisir trop pressant. Parfois, j’embouche la totalité de son mamelon et l’aspire littéralement comme une ventouse, comme pour l’avaler, et ma langue frétille sur son téton. Elle gémit, pousse de petits cris. Je la sens manquer d’air, je sais sa gorge sèche, son bassin ondule à la recherche de mon pubis. Je me laisse alors glisser le long de son corps, me retrouve à genoux devant elle et plaque mon visage sur son ventre houleux. Elle sursaute, je sens ses mains fébriles courir dans mes cheveux. Les miennes ont pris possession de ses genoux et remontent, lentement, le long de ses cuisses fermes, retroussant sa jupe. Le contact du nylon sous la ...