1. Les Mini-Trucs en vadrouille


    Datte: 03/07/2021, Catégories: f, fh, ff, inconnu, vacances, voiture, autostop, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation pénétratio, fsodo, humour,

    ... retomber sur le pal de chair ainsi formé, poussant un râle rauque lorsque les doigts s’enfoncèrent sans ménagement dans ses chairs intérieures. Gémissante, Christine entreprit alors de se branler en profondeur sur ce que lui offrait son amie, répandant sa cyprine sur les doigts fins en d’abondantes traînées qui ne tardèrent pas à couler le long du poignet. François conduisait maintenant à 10 km/h, regardant le moins souvent possible la route, et n’ayant pas repassé la seconde depuis au moins cinq bonnes minutes. Il bandait si fort que la résistance du tissu de son jean lui faisait mal. « Bordel, c’est quoi ces nanas ? » pensa-t-il. Il regarda Justine à côté de lui qui caressait le pied de sa copine en contemplant sa chatte dégoulinante. Elle avait passé une main dans son soutien-gorge, se pelotant avec douceur. Voyant qu’il la reluquait elle lui fit un grand sourire, avant d’écarter largement les jambes, ramenant ses pieds sur le siège pour lui permettre de mieux voir le string rouge qui venait s’insérer contre ses lèvres intimes. François arrêta la voiture, étant plus en surchauffe que le moteur de la 2CV lui-même. Avec un petit clin d’œil, elle ramena sa main depuis sa poitrine jusqu’entre ses cuisses, pointant un doigt qu’elle appuya sur le tissu rouge, pile à l’entrée de son sexe, et lui tira effrontément la langue. Les mains crispées sur le volant, le sang de l’instituteur ne fit qu’un tour. Ouvrant la portière d’un geste rageur il se leva d’un bond et fit ...
    ... rapidement le tour de la voiture pour venir ouvrir la portière avant droite. Le doigt de Justine avait cessé de tapoter sur le string rouge et les grands iris verts le regardaient maintenant avec surprise. Sans un mot il l’attrapa par le bras, la levant et la tirant, sans d’ailleurs rencontrer grande résistance. Il lui fit poser ses fesses sur le garde-boue de la Citroën rouge, puis farouchement il l’embrassa à pleine bouche, cherchant ses lèvres, sa langue en un baiser brutal. Toute raide, d’abord surprise par cet emballement soudain, Justine se détendit petit à petit, fondant avec plaisir sous la bouche affamée. Avec rudesse, François lui pétrissait les seins : « Ah ! ces garces l’avaient allumé pendant presque tout le voyage ! Eh bien maintenant il fallait en payer les conséquences ! » Elle allait passer ses bras autour de son cou lorsqu’il la remit sur pied et la retourna brusquement. Fiévreusement il la pencha en avant, lui écartant avec force ses belles jambes fuselées, ce qui l’obligea à prendre appui sur un des phares saillants de la 2CV. Sortant de son jean une bite dure comme du fer, il la saisit sans plus de ménagement par les hanches en appuyant fermement pour la maintenir cambrée et, d’une main autoritaire, il écarta le mince string qui lui bouchait le passage. Justine le regarda, les yeux pleins de défi : — Même pas cap ! Respirant profondément, il prit son élan et la pénétra brusquement. Enfonçant puissamment sa colonne de chair dans la fente moite, il eut l’intense ...
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