Donjons et Dragons - 4
Datte: 10/11/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Depuis une semaine, je suis me suis soumise sexuellement à une sorcière qui prend plaisir à transformer mon corps à ses envies, rendant mes attributs génitaux toujours plus désirables à chaque séance de domination. Moi qui souhaitais seulement devenir une dame de la cour du château où j’étais paysanne, je suis devenue son jouet sexuel… --- J’ai la tête qui tourne avec toutes les émotions vécues dans la soirée. L’emprise mentale de Maitresse Astradesy, cette sorcière, ne me quittait plus depuis la veille, et je me retrouvais à devoir faire de nouveau la bonne au château alors même que mon désir sexuel ne redescendait plus : autant le dire, c’était une torture. En me levant le matin dans ma chambre, j’ai tout de suite senti les changements corporels vécus la veille : ma poitrine n’avait jamais été aussi exubérante et vulgaire, et mes fesses avaient pris plusieurs centimètres de volume. Je suspectais également mes lèvres vaginales d’avoir enflé durant la nuit, mais c’était peut-être seulement à cause de cette excitation sexuelle continue que je ne pouvais plus contenir : dès mon réveil, j’ai enfouie ma main dans ma chatte, ayant un besoin irrépressible de me faire plaisir, de me sentir vivante. Mes doigts jouaient avec mon clitoris, pendant que mon autre main s’affairait à malaxer mes seins, devenus si sensibles. J’étais même capable de les lécher à présent. Mon orgasme passé, j’ai pu reprendre mon souffle et m’apprêter pour ma journée de travail. Maitresse avait probablement ...
... changé durant la nuit mon uniforme, qui correspondait à mes nouvelles mensurations. Niel, l’homme qui m’avait conduit à elle, m’avait promis que je ne ferais la bonne qu’une semaine, mais je n’avais plus trop d’espoir à présent. Dans ce costume et ce corps mis à jour, j’attirais tous les regards. Il faut dire que le décolleté était plongeant et que la jupe laissait entrevoir le début de mes fesses. Mon corps, en l’espace d’un peu plus d’une semaine, était devenu celui d’une bimbo, et je pense que même en remettant ma robe de fermière, je ne pourrais plus sortir sans faire tourner les regards. En entrant dans la cuisine pour prendre mes ordres du matin j’ai vite vu que tout le monde avait remarqué mes métamorphoses corporelles ; les hommes ne me regardaient plus dans les yeux, et les femmes, pour certaines, me regardaient avec admiration et jalousie. D’autres aussi marquaient clairement l’envie de « m’essayer ». Malgré ces regards curieux et particuliers, plusieurs bonnes et moi étions devenues amies, et j’avais réussi à tisser un vrai lien avec certaines d’entre elles, comme Elenna, qui faisait le ménage dans les appartements du seigneur tous les matins. Elle était devenue une personne de confiance à qui je pouvais me livrer sans avoir honte, et me sentir aussi excitée, même en lui parlant, me donnait honte. Il est arrivé deux fois durant le lendemain de ma séance avec Maitresse que je pique une crise de désir sexuel et que je m’enfuisse en courant dans un placard à balais ou ...