1. Donjons et Dragons - 4


    Datte: 10/11/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... fait est qu’elle me prouvait que je n’aimais pas seulement avoir une maitresse dominatrice sexuelle, mais que j’en avais avant tout besoin. Et qu’elle devait elle-même prendre des précautions pour s’assurer de ma sécurité et de celle des autres. - Comprends, petite chienne. Si je te laisse en liberté imagine toutes les catastrophes que tu pourrais produire ? J’ai besoin de garder un œil sur toi à présent que tu es devenue ce que tu es. J’espère que tu es encore en mesure de comprendre pourquoi je fais ça. Je baissais la tête, remplie de honte, me sentant moins que rien. Tout ça arrivait parce que je l’avais déçu, elle. - Oui Maitresse, je comprends. - Parfait. Je vais t’installer cette laisse dans ce cas. Elle me saisit mes cheveux, que Niel tenu en l’air pour qu’elle puisse me fixer mon collier. Il n’était pas trop serré, mais suffisamment pour que je sente sa présente lorsque mon souffle est court. - Ceci est la matérialisation de ton appartenance, compris salope ? Elle avait la voix dure, je saisissais à quel point j’avais dû la décevoir. Elle vint ensuite attacher la laisse au collier, et saisit la poignée à son bout. - Tu vas dormir avec moi cette nuit, et les nuits suivantes. Je ne peux plus me permettre de te laisser toute seule. Elle commença à avancer vers la sortie de la pièce, en tirant légèrement sur l’encolure, quand elle s’arrêta pour rajouter : - Ha, et les petites chiennes ne portent pas d’habits, n’oublie pas. Et elle claqua des doigts une nouvelle fois. Avec ...
    ... surprise, je me retrouvais soudainement nue, mes vêtements avaient complétement disparus, comme dissous. Sans prêter attention à mon air ébahit, elle se dirigea vers ses appartements, tenant fermement ma laisse. Cette dernière faisait peut-être un mètre, ce qui me laissait l’occasion de tenir debout, mais sans pouvoir véritablement mes distances ou me cacher. Si bien je pu croiser des bonnes avec qui j’avais pu sympathiser et qui étaient devenues des amies, comme Elenna par exemple. Elles affichèrent toutes un regard surpris, mais j’étais rouge de honte et regardait mes pieds pendant ma Maitresse me trimbalait dans le château. J’avais d’ailleurs l’impression que ce n’était pas le chemin le plus court pour rentrer chez elle, et qu’elle en profitait pour clairement m’afficher comme « sa » petite chienne salope, ce qui me remplit de bonheur : au fond, elle était fière de moi, non ? En arrivant dans ses appartements, elle commença à me laisser là, au milieu de la pièce, pendant qu’elle retourna manger. J’avais moi-même préparé cette volaille avant d’aller mettre les couverts pour la famille seigneuriale, et la voir manger devant attisait la sensation de lui appartenir pleinement. Elle ne daigna à m’accorder un regard qu’après la fin de son souper, et se préparant à sortir pour une fête, se plaça devant moi en réfléchissant. - Je pense que j’ai trouvé le bon moyen d’éviter que tu fasses n’importe quoi, dit-elle à voix haute. Elle est claqua à nouveau des doigts. Une cage à lapin, ...