Cocu passé : Jean
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
inconnu,
fépilée,
danser,
Collègues / Travail
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
facial,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
... asseoir sur le fauteuil de son bureau, me suis glissée sous le bureau (quel fantasme, hein, mon chéri !) et ai pris sa queue dans ma bouche. Tantôt je l’embouchais entièrement, faisant jouer le prépuce sur sa tige, tantôt je donnais des petits coups de langue sur le bout de son gland. Il avait l’air d’apprécier la sucette, mon petit Jean… Il était assis en arrière, la tête vers le plafond, les jambes écartées pour me laisser plus de place, et la queue tendue à son maximum, qui était appréciable. Je me sentais vraiment salope, je ne te le cache pas. Je soupesais ses bourses, les écrasais entre mes doigts, je les lui caressais, je les lui léchais parfois. Ses poils étaient tout doux, tout soyeux. Prise dans l’action, je ne l’ai pas tout de suite entendu me dire qu’il voulait me prendre. Une fois que je l’eus entendu, je me relevai et lui demandai s’il avait des préservatifs. Il me répondit que c’était inutile, et il me montra sur son bureau un certificat médical le prouvant. Moi, la femme vertueuse, je le crus sur parole (et un peu sur document). Je me plaçais donc à califourchon sur lui. Dans un premier temps, il ne parvint pas à mettre sa queue dans ma chatte (vous êtes tous pareils, les mecs), je lui empoignais donc la queue et me la plaçai toute seule à l’entrée de ma grotte trempée. Puis je m’assis violemment sur lui, m’empalant d’un coup, ce qui provoqua un petit cri de ma part ; elle était plus grosse que je ne m’y étais attendue, finalement. Je sentais ma mouille lui ...
... couler sur la verge, sur les couilles. Lui ne bougeait pas, se contentant de me mordre et lécher les seins ; j’ai même cru à un moment qu’il allait me les manger ! Peu à peu, nous nous sommes mis en mouvement, lui de son côté remontant son bassin à la rencontre du mien, et moi du mien en me soulevant à l’aide des accoudoirs du fauteuil, puis en retombant brusquement. C’était délicieux. Il me disait que j’étais belle, que j’étais un ange déchu, un ange de plaisir. Il m’a baisée comme ça pendant vingt bonnes minutes, alternant douceur et violence dans sa pénétration. Je dois te le dire, il m’a demandé à un moment si c’était mieux qu’avec toi… et j’ai répondu oui. Et c’est vrai que c’était un peu comme à nos débuts : la nouveauté, la surprise, la crainte d’être surprise… Bref, au bout d’un certain temps, je me suis retournée et il a continué à me prendre, moi lui tournant le dos sur le fauteuil. Puis il m’a conduite sur la moquette de son bureau, m’a complètement aplatie sur le ventre et m’a pénétrée comme ça, par derrière, il était écrasé sur mon dos, mes fesses, mes jambes. Il m’a attrapée par la taille, toujours planté en moi, a relevé mon cul et a continué de plus belle à me prendre par derrière, en levrette. Mmmmmh, comme je sentais bien les mouvements profonds de sa queue en moi, dans la chaleur de mon ventre ! Je le sentais buter sur ma matrice, frottant mon clitoris au passage et me caressant les seins par en dessous. C’est vrai en fait, tu as raison : c’est une position ...