Gourmande mais jamais « seuls » (1)
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
Collègues / Travail
gros(ses),
grosseins,
plage,
boitenuit,
Masturbation
Oral
fsodo,
extraconj,
... commence à perdre le souffle, et la tête ; j’ai les couilles proches de la fusion. Mais là, coup de théâtre, la sonnette de la porte retentit ! Yvette est littéralement prise de panique. Elle défouraille avec un bruit de ventouse, repasse son haut, sa jupe, tente un peu de remettre son corsaire, laisse tomber électrisée par un deuxième coup de sonnette, passe juste ses chaussures et part vers la porte. Sa mini est vraiment ras-la-touffe ! Ses fesses dépassent. Moi je me retrouve comme un con tout proche de l’éjaculation, complètement désorienté. Heureusement, nous n’avions pas allumé et Yvette a claqué la porte. Véro bouge et se met sur le dos, jambes écartées, dans une position d’une indécence assassine. Je saisis mon membre bandé et, les yeux plongés dans le sexe de Véro je me branle. Qu’il est beau ! Les lèvres sont proéminentes, écartées. Ça se met bien en ordre, un peu comme le rideau qui s’ouvre au théâtre et je vois un joli clito tout rouge, dessous des petites peaux, de très roses à très brunes, entourées de poils un peu désordonnés par ses folies. Quand je sens le plaisir monter je m’avance et crache tout sur le ventre de l’endormie. Ça la réveille et comme un zombie, elle reprend son short et son tee-shirt. Elle manque de partir à poil, se ravise, met ses fringues n’importe comment. Je fais pareil mais alors qu’on va sortir, Yvette revient. — Ah non hein ! Vous ne me laissez pas comme ça ! Elle fait voler ses fringues, se dirige vers Véro qui la regarde sans ...
... aucune réaction, lui enlève le tee-shirt, le short, lui met une grosse tape sur les fesses, se retourne vers moi, me baisse le short sur les pieds, attrape ma bite complètement molle et, dépitée retourne vers Véro et sans un mot l’allonge par terre, s’assoit tête-bêche sur son visage et met son cul en action. Vu l’état de Véro, j’ai peur qu’elle ne l’étouffe. C’est à son tour de mettre son cul à bouger, et ça y va. Je vois deux mains qui se lèvent, entourent ses cuisses ; ça y est, Véro se décide à assumer. Je tire une chaise et m’assois. Je regarde ça, détaché, fatigué. Pourvu qu’elle jouisse vite, qu’on aille se coucher. Je m’accoude sur le bureau et manque de m’endormir et de tomber de la chaise. Je me redresse, m’accoude à nouveau et me fais mal. Je me suis appuyé sur un stylo. Ça me donne une idée. Je le prends et je me mets sur le côté des deux femelles en chaleur, enfin surtout une. Elle a ses gros lolos qui pendent et se secouent au rythme imposé par con cul. Je pose le stylo par terre et me mets à malaxer toute cette masse. J’y plonge le visage, qui m’amuse à le promener là dedans, rencontrant des tétons que je suce avidement à pleine bouche. Ça lui plaît. Puis je m’écarte, reprends mon stylo et me place derrière. Avec une main, j’écarte les fesses et je me mets à jouer avec son trou du cul. Les « Eh ben, eh ben ! » de tout à l’heure se remettent en route. Des fois c’est plus : « J’y crois pas, j’y crois pas ! » toujours répétés plusieurs fois. J’enfonce le stylo. C’est ...