1. Gourmande mais jamais « seuls » (1)


    Datte: 06/07/2021, Catégories: fh, ffh, fbi, Collègues / Travail gros(ses), grosseins, plage, boitenuit, Masturbation Oral fsodo, extraconj,

    ... humide là-dedans. Yvette se met à avoir des soupirs, ou je ne sais comment appeler ça, mais on dirait une petite fille qui chantonne bizarrement en jouant à la marelle. C’est incroyablement excitant. Je me mets à tourner le stylo dans tous les sens en faisant gaffe quand même, surtout que le popotin ondule pas mal. Elle passe de ses mélopées de petite folle à des « Oh ben merde, oh ben merde ! » qui sont vraiment pas possible. Véro semble y mettre encore un coup de plus. Tout ça me remet dans une forme proche de la folie. J’enlève le stylo, je le lance, je baisse mon short et je m’enfonce sans modération dans ce cul. — Fais gaffe, tu t’goures, c’est mon cul, c’est mon cul ! se met à hurler Yvette. Et elle répète la fin de la phrase je ne sais combien de fois. Mais loin de me calmer ses cris m’excitent encore plus et je fourrage là-dedans comme un dératé. Véro aussi est complètement à fond. Là, Yvette stoppe tout, pousse un « Putain d’merde ! » tonitruant, se met à trembloter de tout le corps comme si elle grelottait de froid, s’écroule le visage entre les jambes de Véro avec le corps qui continue à être pris de ces secousses, Véro continue à la sucer comme une folle. Elle me saisit les couilles et les presses, limite douleur. Je me mets à jouir ...
    ... comme un fou dans de grands mouvements avec ces bruits quand je m’écrase sur les fesses d’Yvette. Il me semble que Véro jouit aussi en bougeant toujours son cul et sa tête comme une folle. Et puis plus rien. Véro détache ses mains qui s’affalent par terre. Je m’écroule sur le côté. Quand je me réveille, les deux filles n’ont pas bougé. Je les secoue en cherchant mes fringues. Véro émerge la première. Elle met un moment à comprendre où elle est. Faut dire qu’elle est sous le cul d’Yvette et que la vision au réveil doit être bizarre. Elle la pousse. Yvette s’affale sur le côté en grognant. Véro, à deux à l’heure, s’habille. Sans autre réaction elle va sortir. — On peut pas la laisser comme ça Elle se retourne, regarde. — J’ai bien cru que j’allais mourir là dessous. Elle s’avance et la secoue : — Yvette, Yvette. On a été obligés de la secouer cinq bonnes minutes et après de l’aider à s’habiller. Les seuls mots qu’elle ait dits, toujours ses « Eh ben, eh ben !» On l’a aidée à marcher et à s’asseoir sur la chaise où on l’avait trouvée. Elle n’a pas répondu à nos bonsoirs et on a filé se coucher. Là, quand même, cet épisode nous a calmés. Nous sommes restés calmes quelques jours… mais arrivait cette fameuse invitation ! J’y vais ? J’y vais pas ? (à suivre) 
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