Gourmande mais jamais « seuls » (1)
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
Collègues / Travail
gros(ses),
grosseins,
plage,
boitenuit,
Masturbation
Oral
fsodo,
extraconj,
... merde !— Pas question.— Pas question que tu te rhabilles.— D’accord ! Tu prends mes fringues et je garde les tiennes. Et on continue. — On retourne voir les baiseurs ? On y va en courant, on se met chacun d’un côté du groupe et on se branle sans hésitation. Le gars qui fourrage dans la minette se rince l’œil mais je ne suis pas sûr que les autres aient vu quoi que ce soit. La femme ne bronche pas en recevant de mon sperme sur le dos. On était tellement à blanc, Véro et moi, que ça n’a pas été long. Je passe de l’autre coté, je récupère mes fringues, garde celles de Véro et nous nous écartons. — À ton tour de te balader à poil.— Salaud ! Je crois qu’elle dit ça pour la forme, je la sens plutôt contente de se balader à poil. Au retour, je l’oblige juste à passer devant le groupe de mecs éméchés. Quelques-uns d’entre eux ont jeté l’éponge et dorment sur le sable. Les autres se mettent à gueuler encore plus que tout à l’heure et, là, ils se mettent tous à poil à se branler. J’ai un peu peur mais ils ont l’air cools. Véro ne se prive pas de se montrer la plus salope possible, devant, derrière, jambes écartées, fait semblant de se branler… Ils sont sept ou huit et j’en compte au moins cinq qui éjaculent sur le sable, et on se barre. En récompense je redonne ses fringues à Véro. — Merci mais je reste à poil jusqu’à la voiture, trop agréable dans cette fraicheur.— T’as raison. Cette petite marche de nuit à poil a été très agréable. Un autre soir, alors qu’on rentre bredouilles de ...
... notre chasse aux partenaires, on arrive en haut du bâtiment dans le couloir de nos chambres, quand Véro fait demi tour. — Suis-moi ! Je la rattrape. — Tu vas où ?— Viens, on va voir Yvette.— Yvette ? La grosse de l’hôtel ?— Ouais, tu vas voir, je suis sûre que c’est une chaude.— Mais elle est trop grosse.— Alors là, si t’arrives à tremper ton biscuit, j’suis sûre que tu ne le regretteras pas. Des fois elle est quand même fatigante. Je m’arrête et j’hésite. Elle me fait un doigt d’honneur et continue. Je n’ai peut être pas assez de caractère, mais je la suis. — Tiens, Véronique !— Salut Yvette, ça va ? Dis donc, t’as pas trop de boulot, on dirait ! Tu bouquines quoi ?— Oh, ça va, hein !— Brigade mondaine, mais c’est plein de truc de cul ça.— Of, pas trop non. Yvette est un peu gênée. — Non c’est du polar.— Du polar où les flics baisent les putes.— Des fois, mais y’a aussi plein d’autres turcs.— Des turcs avec des gros manches ?— Oui, bon, je voulais dire des trucs.— Des trucs, des manches, tu voulais dire. Eh, Patrick ici présent veut pas me croire que j’ai des seins plus gros que les tiens.— Tu plaisantes ! T’es belle comme un cœur alors que moi avec mes gros lolos…— Ah non, hein, dis pas ça, j’suis sûre que tu en fais bander plus d’un.— En tout cas, ils ne me le disent pas ! Et là commence une longue messe basse, sans curé mais c’était sûrement aussi bien comme ça. Progressivement, je ne sais pas ce que Véro lui dit, mais Yvette semble moins sûre dans ses réponses. Elle me ...