1. Natasha & Franck (3)


    Datte: 07/07/2021, Catégories: Transexuels

    ... Puis ils me laissèrent pour interroger Karen. Ils se montrèrent prévenants et ne la noyèrent pas sous un torrent de questions. Malheureusement, cela prendrait un peu de temps, et avec la neige qui continuait de tomber, je me demandai s’il serait judicieux de la laisser prendre la route. Après tout, je pouvais bien l’héberger. Je m’approchai d’eux et les interrompis : ─ Excusez-moi de vous couper… Karen, si tu veux me passer ton téléphone, je vais prévenir ton mari que tu seras en retard. ─ Non, appelle plutôt mes parents ; Romain est encore au boulot. Demande à mon père d’aller chercher mon fils chez la nounou. Merci, Franck. J’appelai donc les parents de Karen. Sa mère répondit ; je lui expliquai la situation et l’assurai que tout allait bien. Puis je l’informai de la météo locale et de mon intention d’héberger sa fille pour la nuit. ─ Je n’ai pas encore eu le temps d’en parler avec elle. Si elle tient absolument à repartir, je la descendrai chez vous. Quoi qu’il en soit, elle vous appellera pour vous prévenir de son choix. ─ Merci beaucoup, Monsieur. Merci pour tout ! ─ Je vous en prie ; c’est un plaisir de prendre soin votre fille. wonwaaj Je rendis le téléphone puis me tournai vers Natasha. Je lui fis part de mon souhait d’héberger Karen pour la nuit. Je ne voulais pas laisser Karen seule chez moi, ni Natasha seule chez elle. Elle proposa donc de nous retrouver tous les trois ou chez elle, ou chez moi. ─ Chez moi : il faut que je nourrisse mes chiens. Je sortis dans la ...
    ... cour pour prendre l’air et me rendre compte de l’épaisseur de neige au sol. Me détendre ! Je ressentais le contrecoup après la tension et l’agitation. Natasha me rejoignit et remarqua mon coup de fatigue. ─ Toi, tu as besoin d’un petit remontant. Une petite récompense bien méritée pour notre héros… Et puis avec ce froid, il me faut quelque chose de chaud dans le ventre. Elle se baissa et ouvrit mon pantalon tout en me regardant d’un air faussement innocent. À tout instant, on pouvait nous voir par l’une des fenêtres donnant sur la cour, mais avec un peu de chance, personne n’aurait envie de regarder dehors par ce temps. Natasha s’employa à me faire jouir le plus rapidement possible. Pas la peine de s’éterniser : à tout instant, n’importe qui pouvait accéder à la cour. Elle ne détourna pas ses grands yeux bleus, pas même quand elle reçut mon sperme dans la gorge. Il était temps de retourner voir Karen. Les gendarmes s’apprêtaient à partir. Ils n’avaient pas fini de l’interroger, mais, d’une part, Karen montrait des signes d’épuisement, et d’autre part ils n’allaient pas tarder à être appelés pour des sorties de route. Ils avaient l’essentiel et reviendraient voir Karen pour les détails lorsque tout serait redevenu calme. ─ Merci, Franck, pour ton sang-froid, mais fais quand même attention à toi quand tu te lances dans l’action… enfin, ce n’est pas comme s’il y avait des hold-up tous les jours, par ici ! Veille sur ta collègue : elle risque d’avoir quelques coups de blues les ...
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