La colocation
Datte: 07/07/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
Inceste / Tabou
école,
amour,
Oral
pénétratio,
init,
A mon entrée à la fac, mes parents décidèrent de me prendre un petit appartement. Mais comme je n’étais pas très studieux, ils me trouvèrent une collocatrice de choix : ma cousine Julie. Elle avait le même âge que moi et passait tout son temps seule, avec ses livres. Elle n’était pas du genre très féminine, toujours habillée avec des habits très larges. Ils espéraient que cette collocation serait bénéfique à tous deux. Mon oncle et ma tante pensaient qu’à mon contact, Julie pourrait se faire des amis et mes parents espéraient qu’elle réussirait à m’insuffler le goût des études. J’étais trop heureux d’avoir un peu d’indépendance pour les détromper. Ma cousine et moi n’avions jamais été très proche l’un de l’autre. Lors des réunions de famille, c’est à peine si nous échangions trois mots et j’allais devoir passer toute une année avec elle. Je la soupçonnais d’être une chaperonne chargée de surveiller tous mes faits et gestes et de faire son rapport à mes parents. Dès notre emménagement terminé, les problèmes ont commencé. Elle voulait tout régir à sa façon. À telle heure : dîner, à telle heure : travail, pas le droit d’inviter des amis. Il était totalement hors de question que je me plie aux exigences de cette folle. Après avoir longuement réfléchi à la question, j’en déduisis que la seule façon, pour qu’elle me laisse tranquille, était de lui pourrir suffisamment la vie pour qu’elle déménage. Je pris donc très rapidement l’habitude de négliger toutes les corvées, de laisser ...
... derrière moi un maximum de bazar, de systématiquement vider le frigo. Deux mois de ce traitement, et elle était à bout. Un soir que je rentrais vers minuit, je l’entendis pleurer dans sa chambre. J’avais gagné, mais le plaisir de savourer ma victoire me poussa à aller la voir. Je frappais à sa porte. — Julie ? Ca va ?— Laisse-moi tranquille, me répondit-elle.— Allez, raconte, dis-je en entrant dans sa chambre. Elle était allongée sur son lit, en peignoir. Elle pleurait, la tête enfouie dans son oreiller. Je m’assis à côté d’elle sur le lit, et lui caressai les cheveux. Elle avait enlevé ses lunettes de myope, dont la grosse monture noire ne mettait pas son visage en valeur et dont elle ne se séparait jamais. C’était la première fois que je la voyais sans lunette. Elle se tourna vers moi. Ses yeux rougis me montraient toute la souffrance que je lui avais infligé ces derniers temps. J’eus instantanément honte de moi. — Allez, dis-moi ce qui ne va pas.— Tu te moques de moi. Ne me dis pas que tu ne sais pas ce qui ne va pas. J’en ai marre, de tout le bordel que tu laisses traîner partout. C’est bon, tu as gagné, je vais rentrer chez mes parents, comme ça tu pourras faire ce que tu veux et vivre dans ta « porcherie ». La bonniche laisse tomber.— Mais tu ne vas pas te taper une heure de trajet tous les jours pour venir à la fac.— J’aimerais mieux venir à pieds tous les jours que de continuer à vivre avec toi.— Ecoute, je crois que nous sommes partis sur de mauvaises bases, tous les ...